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Photo de Pierre Rapeau lors d'une visite de ses peintures
Bibliothèque de Linguistique Occitane et Romane (BLOR)

Pour contacter l'établissement

BLOR - Bibliothèque de Linguistique Occitane et Romane
16, rue de la Sorbonne - 4e étage (îlot Champollion)
75005 Paris
lettres-languefrancaise-bibliotheques@sorbonne-universite.fr

Historique et missions

La Bibliothèque de Linguistique Occitane et Romane est issue du CEROC (Centre d’Enseignement et de Recherche d’Oc) et a changé de nom en 2022. Elle est rattachée à l’UFR de Langue Française de Sorbonne Université.

Les collections occitanes du BLOR

Cette bibliothèque est consacrée à la langue, à la littérature et à la civilisation des pays d’Oc, anciennes et modernes. Elle est notamment constituée de différents legs, parmi lesquels le fonds Frank, le fonds Boutière, le fonds Charles Roux et le fonds Méjean.
La bibliothèque contient également un fonds d’ancien français, ainsi qu’un fonds d’italien, de catalan, d’espagnol. En dialectologie romane, elle possède une importante documentation (notamment les atlas linguistiques). Les fonds s’accroissent par acquisitions.

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Bibliothèque municipale de Sceaux, Institut Florian
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Pour contacter l'établissement

7, rue Honoré-de-Balzac
92330 SCEAUX
Tél. : 01 46 61 66 10 - fax. : 01 46 83 97 74
biblio@sceaux.fr

Historique et missions

En 1956, Léon Ancely, toulousain d’origine, prend sa retraite et s’installe à Sceaux et fait don à la Ville de sa bibliothèque : plus de 10.000 volumes dont 3.000 documents consacrés à la langue, aux cultures et aux littératures occitanes (dont une partie de la bibliothèque personnelle de Joseph Loubet), ainsi que plus de 400 documents relatifs à la franc-maçonnerie (devenu le fonds Voltaire) et près de 400 documents consacrés à la Commune de Paris de 1871.
Léon Ancely meurt en 1971 après avoir d’inauguré l’Institut Florian, centre d’études méridionales, en 1969. Après sa mort, la ville fait transformer son appartement au deuxième étage du Petit Château où ses collections sont transférées.
Ce fonds rejoint alors la bibliothèque municipale qui logeait, elle aussi, au Petit Château. Lors du déménagement de la bibliothèque en 1985, le don la suivit jusqu’aux locaux actuels.

La collection s’est s’agrandie après que l’Institut Florian a reçu une partie des collections en langue occitane de la Bibliothèque publique d’information (BPI), vouées à être intégrées au fonds et interrogeables sur le catalogue de la Bibliothèque municipale.

L'Institut est ouvert sur rendez-vous du mardi au samedi sauf pendant les vacances scolaires. Ses collections sont consultables sur place uniquement. Son catalogue informatisé est consultable sous ce lien : http://bibliotheque.sceaux.fr/opacwebaloes/index.aspx?IdPage=241

Les collections occitanes de l'Institut Florian

Les collections occitanes de l’Institut Florian sont rassemblées au sein de fonds Ancely qui regroupe aujourd’hui plus de 3 000 documents consacrés aux langues, cultures et littératures méridionales. Ces collections sont composées d'une série de documents sur la philologique, de dictionnaires, de biographies, de grammaires en tous dialectes ainsi que d'études et de thèses.
Ce fonds comprend également les archives de Joseph Loubet qui mourut avant de pouvoir léguer sa propre bibliothèque.

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Archives départementales du Gard
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Pour contacter l'établissement

365, rue du Forez
30000 – NIMES
Tél. 04.66.05.05.10
Fax 04.66.05.05.55
archives@gard.fr

Historique et missions

Depuis 1796, les Archives départementales sont la mémoire du département. Lors de leur création, elles ont eu pour rôle de récupérer et conserver les documents d’administration d’Ancien Régime mais aussi les papiers confisqués aux établissements religieux et aux familles émigrées. Les plus anciens de ces documents remontent au IXe siècle.

Depuis, elles n’ont cessé de s’accroître en recevant les archives publiques produites sur le territoire du département, par les administrations, les notaires, les établissements publics, mission qu’elles assument toujours aujourd’hui (en recevant en moyenne 500 mètres linéaires de documents par an). Elles peuvent aussi s’enrichir d’archives privées, émanant de particuliers, de syndicats, d’associations, d’entreprises, qui viennent en complément des documents administratifs.

Les collections occitanes des archives départementales du Gard

Les archives départementales conservent deux fonds occitans : 

- fonds Ivan GAUSSEN : sous-série 43 J, articles 1 à 1838. Ce fonds contient des revues et des livres. Les Archives départementales du Gard possèdent par ailleurs un supplément au fonds Gaussen, composé de dossiers thématiques (documentation, coupures de presse, correspondance), dont le répertoire n'est pas achevé. Le fonds remis aux Archives départementales par M. Frédéric Gaussen comprenait également des archives appartenant au Félibrige : registres des délibérations de la Société des félibres de Paris, 1888-1893 et des Amis de la langue d'oc à Paris, 1929-1936. Elles ont été restituées aux Amis de la langue d'oc à Paris en 1983.

- fonds Jaumette ROUX : sous-série 77 J, articles 1 à 89. Ce fonds contient de la correspondance et des documents ronéotypés comme des tracts, mais aussi des revues, brochures et ouvrages.

Le répertoire de ces deux fonds est consultable sous forme dactylographiée en salle de lecture, ouverte au public du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h (demande de documents suspendue de 11h45 à 13h30).

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Musée Château-Gombert (Marseille)
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Pour contacter l'établissement

Association des Amis du Musée de Château Gombert et de sa Bibliothèque
5, place des Héros
13013 MARSEILLE
Tel : 04 91 68 14 38 - Fax : 04 91 68 90 83
Site Internet : http://www.espace-pignol.com/#!missions-et-fonctionnement/c1alk

Historique et missions

Le Musée du Terroir Marseillais, fondé en 1928, est le deuxième musée d’ethnographie des Bouches du Rhône après le Museon Arlaten créé par Frédéric Mistral en 1899 à Arles. C’est dans la continuité de l’œuvre de Mistral que son fondateur Jean-Baptiste Julien-Pignol (1872-1970) fondateur en 1927 du Roudelet felibren, a voulu le situer.

Installé dans un bâtiment construit spécialement dans ce but, il expose de riches collections de meubles, costumes, objets d'usage domestique, outils, instruments de musique, crèches et santons, art sacré et religion populaire. Le Musée retrace les modes de vie provençaux des 18e et 19e siècles, s’intéressant aussi bien au petit monde paysan qu’à la bourgeoise paysanne : mises en scène d’une cuisine provençale à Noël et sa table des 13 desserts, d’une chambre bourgeoise, etc.

Géré par une association, il s’assigne la double mission de conserver et de transmettre. Son action est soutenue par l’Association des Amis du Musée de Château Gombert et de sa Bibliothèque qui participe activement aux expositions temporaires, ateliers, manifestations, conférences, concerts qui animent régulièrement le Musée.

Les collections occitanes du Musée Château-Gombert

Plus de 5000 m² qui regroupent : Un musée ethnographique de 1000 m² consacré au quotidien de la campagne marseillaise, une bibliothèque régionaliste, plus de 5000 ouvrages, revues, archives, une boutique de produits du terroir, un restaurant, "La Table Marseillaise" , un hôtel, L’Oustau, un théâtre de plein air.

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Villeurbanne, Centre des Musiques Traditionnelles Rhône Alpes (CMTRA)
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Historique et missions

Le Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes (CMTRA) est une association régionale accueillie par la ville de Villeurbanne. Il oeuvre depuis plus de vingt ans dans le domaine des musiques traditionnelles, des musiques « du monde » et de l’ensemble des patrimoines de l’oralité, sur l’ensemble de ce territoire. À travers ses missions de recherche, d’animation du réseau régional et de valorisation culturelle, il participe à la reconnaissance de ces pratiques culturelles et de ceux qui les font vivre ; à leur médiation auprès des publics, à l’accompagnement de la création artistique et de la transmission des savoirs.
Le CMTRA mobilise et fédère un réseau vaste et hétérogène composé d’associations de terrain (culturelles, socioculturelles, éducatives, communautaires), de professionnels de la culture, d’artistes, d’institutions culturelles et patrimoniales qui ont comme socle commun d’œuvrer à la vitalité des formes expressives de l’oralité culturelle et à la promotion des musiques traditionnelles, des musiques migrantes et des patrimoines de l’oralité. Ce réseau est structuré autour d’un forum annuel, de commissions de travail thématiques (pratiques amateurs, spectacle vivant, transmission, recherche, documentation…), de journées d’échange de pratiques et de la Semaine des Patrimoines Vivants. 
Les projets de recherche-action du CMTRA ont une vocation de valorisation patrimoniale et de reconnaissance des diversités culturelles des territoires de Rhône-Alpes. Fondée sur des recherches ethnographiques, des collectes de témoignages musicaux et la constitution de fonds d’archives sonores, la démarche mise en œuvre permet de réaliser des états des lieux des pratiques culturelles populaires, traditionnelles et migrantes qui, loin des sphères publiques de la culture, s’expriment dans l’espace privé des familles et des réseaux de solidarité. Chaque projet conduit à une publication grand public, à des réalisations documentaires ou artistiques et à la mise en œuvre d’événements favorisant le décloisonnement culturel, l’échange et la créativité collective. 
Caractérisée par la multiplicité des formes qui la composent, la grande famille des musiques traditionnelles et des musiques du monde rassemble les expressions instrumentales et vocales de tradition locale, les différentes formes de revivalisme et de fusion ; les musiques issues des migrations anciennes et récentes et toutes les formes hybrides nées de la rencontre des cultures. Plus que tout autre domaine du spectacle vivant, il porte sur le devant de la scène des enjeux liés à la redéfinition sociale des identités et des altérités, ainsi qu’à l’expression des cultures minoritaires dans l’espace public. Ce secteur artistique d’une grande créativité pâti pourtant d’un manque criant d’espaces de diffusions et du renouvellement des formats de scène. 

Fiches de fonds

Enquêtes en Pays de Cèze

Patrimoine numérisé

Enquêtes en Pays de Cèze

Contacts

77 rue Magenta 
69100 VILLEURBANNE 
Tél : 04 78 70 81 75 
fax : 04 78 70 81 85 
www.cmtra.org 

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Bibliothèque Carré d'art de Nîmes
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Pour contacter l'établissement

CARRÉ D'ART Place de la Maison Carrée tel : 04 66 76 35 03 fax : 04 66 76 35 10 mail : bibliotheque@ville-nimes.fr

Catalogue des bibliothèques de la Ville de Nîmes Photographie de la bibliothèque Carré d'art à Nîmes

Historique et missions

Dès 1786, à la veille de la Révolution française, le Journal de Nismes invite à la création d'un établissement commun réunissant collections muséales et bibliothécaires. Il faudra en fait attendre, comme ce fut d'ailleurs le cas pour de nombreuses bibliothèques françaises, que paraisse le décret de la Convention du 3 brumaire an VI (1795) pour que débute officiellement l'histoire de la bibliothèque de Nîmes.

Situées jusqu'alors au 19 Grand'Rue, dans les locaux de l'ancien collège des Jésuites, les collections de la bibliothèque rejoignent finalement au début du XXe siècle les collections muséales dans les locaux du nouvel édifice du Carré d'Art.

Ouvert en 1993, le Carré d'Art de Nîmes prend place face au forum de la Maison carrée, site antique emblématique de la ville. Il constitue un complexe culturel réunissant un musée d'art contemporain et la bibliothèque municipale, proposant ainsi un dialogue entre lieux (Maison carrée et Carré d'Art, édifice contemporain créé en harmonie avec le site antique) et dialogue entre les collections – art contemporain au musée et fonds patrimoniaux de la section bibliothèque – dans la pure tradition des Lumières.

Les collections occitanes de la Bibliothèque Carré d'art de Nîmes

 Les collections de la bibliothèque de Nîmes témoignent de la grande activité intellectuelle et religieuse de la cité. Construite en premier lieu autour de la bibliothèque de Jean-François Séguier, les confiscations révolutionnaires puis les importants legs et dépôts des XIXe et XXe siècles ont permi à la biblitohèque de constituer des collections encyclopédiques et d'une richesse remarquable : L'Herbier général du Languedoc de Pierre Richer de Belleval, en est un exemple.

Les collections

Les collections de la bibliothèque de Nîmes dépassent aujourd'hui les 375 000 volumes, dont plus de 55 000 constituent les seuls fonds patrimoniaux, riches de centaines de manuscrits, d'une soixantaine d'incunables, de milliers d'imprimés et de nombreux dessins cartes et plans. 

L'occitan dans les collections du Carré d'Art de Nîmes

Jean-François Séguier était un érudit polygraphe nîmois ayant entretenu une riche correspondance avec les savants de son temps, bien au-delà des frontières de sa cité natale, et constitué une importante bibliothèque personnelle dont les collections sont le noyau central des actuels fonds anciens de la bibliothèque de Nîmes.  

  La collection Séguier compte de nombreux documents intéressant l'histoire et la littérature occitanes. Jean-François Séguier serait notamment, selon Bauquier 1, l'auteur d'une copie de l'Esclipse dou souleu (1706) conservé dans le cahier 4 du Ms 3039.

Son frère, l'abbé Séguier, prieur de St-Jean-de-Valeriscle est l'auteur de Mémoires sur le langage cévenol. Les manuscrits sont pour partie perdus mais deux volumes demeurent toutefois conservés dans les collections de la Bibliothèque de Nîmes et ont bénéficié d'une numérisation (pour les consulter : aquí

 La bibliothèque conserve également les collections de Sully-André Peyre, fondateur et directeur de la revue Marsyas, et de son épouse Juliette Roig, comprenant notamment des ouvrages du XIXe siècle en langue d'oc et sur la littérature d'oc.

Patrimoine occitan numérisé

Sur le site Collections numérisées de la ville de Nîmes :

Consulter les imprimés occitans issus des collections de la Bibliothèque carré d'art.

En consultation sur Occitanica :

Les collections occitanes numérisées de la Bilbiothèque Carré d'art de Nîmes

Fonds décrits

Dans le CCFr

Voir la fiche établissement et les fonds décrits // Fonds ancien // Fonds Sully-André Peyre // Fonds Benjamin Valz

Notes

"Les Provençalistes du XVIIIe siècle" dans La Revue des Langues romanes, troisième série, pp.65-83.

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Las colleccions occitanas de la Bibliotèca municipala de Bordèu
CIRDÒC-Mediatèca occitana

La bibliothèque publique de Bordeaux est créée en 1740 à l'initiative de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de la ville sous l'impulsion de Jean-Jacques Bel, ami de Montesquieu. La bibliothèque est confisquée par l'Etat à la Révolution puis confiée à la Ville de Bordeaux en 1803.

Ses collections s'enrichissent en 1898 par le transfert des collections du Grand Théâtre puis en 1904 avec la confiscation des bibliothèques ecclésiastiques. En 1960 et 1966, les donations d'Auguste Pujolle et de Paul Duhart constituent une importante entrée de 100 000 volumes environ. Enfin, en 1994 la dation de la comtesse Jacqueline de Chabannes signe l'entrée dans les collections de la bibliothèque de Montesquieu.

À partir de 1944, la Bibliothèque centrale développe les bibliothèques de quartiers, aujourd'hui au nombre de neuf. Installée jusqu'en1791 sur les allées de Tourny c'est à partir de 1991 qu'elle dispose du bâtiment qu'elle occupe toujours, à Mériadeck.

Les fonds occitans de la Bibliothèque municipale de Bordeaux

>> Fonds Auguste Pujolle

>> Fonds Montesquieu

>> Sous-fonds langues régionales

>> Dossier Jasmin

>> Fonds occitan

>> Fonds Itié-Latresne

>> Fonds Félix Arnaudin

>> Fonds André Berry

Collections numérisées

>> Voir toutes les ressources de la Bibliothèque municipale de Bordeaux disponibles dans Occitanica

Accès au site de l'établissement

http://bibliotheque.bordeaux.fr

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Médiathèque de la Communauté d'agglomération de Carcassonne. Fonds occitans.
Centre inter-régional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault)

Présentation de l’établissement

La Bibliothèque de Carcassonne - aujourd’hui Réseau de lecture publique de Carcassonne agglomération - est créée en 1804 pour accueillir les fonds de livres et manuscrits issus de la nationalisation des biens du clergé - bibliothèques de l'abbaye de Lagrasse, des couvents des Jacobins, des Carmes et des Capucins de Carcassonne - et des familles nobles émigrées, en particulier l’importante bibliothèque de la famille de Murat, magistrats carcassonnais.
Ce n’est qu’à partir des années 1830 que la Bibliothèque de Carcassonne commence à fonctionner véritablement, entamant l’inventaire de ses collections. Il faut attendre 1834 pour que le manuscrit de Flamenca (ms. 34 de la Bibliothèque de Carcassonne), copie unique d’un chef-d’œuvre occitan du XIIIe siècle, provenant de la collection de Murat, soit découvert et signalé à François Raynouard qui le publie pour la première fois en 1835.

Descriptions des fonds :

La Bibliothèque de Carcassonne conserve une importante documentation occitane au sein du fonds des manuscrits, mais aussi au sein de ses fonds régional et musical.

Manuscrits occitans :

Le fonds général des manuscrits de la Bibliothèque de Carcassonne contient une dizaine de manuscrits en occitan, dont le très célèbre manuscrit de Flamenca. La plupart des manuscrits sont liés aux écrivains et personnalités de l’Aude engagés dans les mouvements de renaissance occitane à partir du milieu du XIXe siècle : Achille Mir (ms. 91, ms. 49, ms. 24190 ; ms. 36284), Gaston Jourdanne (ms. 45, 24352, 26155, 14779) et les animateurs de la revue La Tèrra d’Oc, en particulier Louis Alibert et Paul Albarel (ms OC TER : « Tèrra d’Oc »).
Signalons également un recueil de « Poésies patoises » de l’abbé Philippe Samary, député du Clergé aux États généraux (ms. 155) et le recueil de « chants d’église [traduits] en patois », œuvre d’Antoine Nérie (1745-1824), curé d’Alzonne, qui traduisit en occitan les chants liturgiques à destination des paroissiens audois et dont le recueil connut cinq éditions entre 1820 et 1827 (ms. 27).

Documentation régionale :

La Bibliothèque de Carcassonne possède une importante documentation occitane moderne et contemporaine au sein de son fonds régional et d’un fonds occitan, régulièrement enrichie. Le fonds régional s’est développé à partir de l’acquisition au début du XXe siècle de la bibliothèque de Gaston Jourdanne (1858-1905), maire de Carcassonne, avocat et journaliste, érudit et historien du Félibrige. Il rassembla de son vivant une importante bibliothèque sur l'histoire de Carcassonne et de sa région.
Le fonds régional de la Bibliothèque de Carcassonne est particulièrement riche sur les écrivains audois, comme Joë Bousquet, Gaston Bonheur ou encore René Nelli.

Dates extrêmes :

XIIIe - XXIe siècle

Langues représentées dans le fonds :

français, occitan (languedocien)

Importance matérielle :

12 ms. , env. 500 imprimés (monographies, périodiques) et enregistrements sonores

Supports représentés :

manuscrits, monographies imprimées, périodiques, musique imprimée (partitions), musique enregistrée (CD)

Accroissement :

fonds ouvert

Modalités d’entrée :

achat, dons, legs

Pour le consulter

Identifiant du fonds (cotes extrêmes) :

F.Rég (Fonds régional), OC (fonds occitan contemporain), Ms. (Fonds général des manuscrits)

Instruments de recherche disponibles :

- Fonds régional : Catalogue en ligne du réseau de lecture publique de Carcassonne agglomération : http://catalogue.carcassonne-agglo.fr
- Manuscrits : Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France. Départements — Tome XIII. Carcassonne. Consultable en ligne : http://ccfr.bnf.fr/portailccfr/jsp/index_view_direct_anonymous.jsp?record=eadcgm:EADI:FRCGMBPF-110696201-01a.xml

Conditions d’utilisation

Conditions de consultation :

Contacter l’établissement : http://catalogue.carcassonne-agglo.fr

Conditions de reproduction :

Contacter l’établissement : http://catalogue.carcassonne-agglo.fr
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Archius departementals d'Erau
CIRDOC - Institut occitan de cultura
Les fonds occitans des Archives départementales de l'Hérault :
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Société Archéologique, Scientifique et Littéraire de Béziers
CIRDÒC-Mediatèca occitana
Comme nombre de sociétés savantes, la Société Archéologique de Béziers fut créée après 1830 sous l'égide du ministre Guizot, A. Thierry, et A. de Caumont, par le bâtonnier Jacques Azaïs et le bibliothécaire Boudard en 1834. Elle prolongea ainsi l'œuvre de l'Académie royale des Sciences et Belles-Lettres fondée en 1723, par le mathématicien Jean-Jacques Dortous de Mairan.

En 1859, elle élargit son champ d'intérêt en devenant aussi scientifique et littéraire, allongeant ainsi sa dénomination. Ses travaux de plus en plus affinés, en son bulletin annuel, lui valurent d'être très remarquée et d'obtenir la protection de quelques membres distingués, tels les académiciens Viennet et Flourens. Dès 1874, elle fut Reconnue d'Utilité Publique, soit 10 ans avant l'Académie de Montpellier et 14 ans avant sa Société Archéologique.

Elle est aujourd'hui la société la plus anciennement honorée du département, et compte quelque 400 membres grâce à l'impulsion que lui a donnée à partir de 1990 le président Jen-Denis Bergasse.

Les fonds occitans de la Société Archéologique de Béziers

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