Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : Es per la pimpanélo que maridon la bèlo.
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1858.
Ce recueil contient deux manuscrits.
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Recueil de quatre textes : Setembre, Bendemios, l'Hiber, Mort de Ramoun.
Devise : "Quand las recoltos soun perdudos, qu'on nou bey pas, enloc, cap de traço de bi, Las campagnos debenen mudos a paude pas se rejoui"
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1856
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "La bouno au la mayssanto acciou, a, tot ou tard, sa recoumpenço !"
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1855.
Louis Vestrepain (1809-1865), cordonnier et poète-ouvrier toulousain, donne ici un jugement de carnaval, sous le nom de Jutjoment de Capcarrat. Cette fête, ses manifestations et rituels étaient l'une des principales sources d'inspiration de ses écrits. Le jugement est suivi de la chanson La Coucudo et Capcarrat.
Le fouet de carnabal est une succession de satires, moquant selon l'esprit de carnaval, un certain nombre de comportements condamnés par son auteur, Louis Vestrepain, qui n'a toutefois pas aposé son nom sur ce recueil.
Louis Vestrepain (1809-1865), cordonnier, fait partie de la génération dite des « poètes-ouvriers » occitans. Il participe aux côtés de Lucien Mengaud (1805-1877), musicien, peintre, bijoutier puis secrétaire de mairie, au renouveau de la culture occitane toulousaine, sa ville natale.
Ses premiers écrits paraissent dès 1836, et rencontrent immédiatement un certain succès. En 1860, il réunit dans un même recueil, Las espigas de la lenga mondina, une sélection de ses précédentes publications. Le succès rencontré, conduira par la suite à de fréquentes ré-éditions de cette œuvre.
S'inspirant des auteurs phares de son époque, dont Jasmin qui semble son modèle principal, Louis Vestrepain s'essaye tant à la poésie lyrique, qu'au genre folklorique. Souvent satiriques, ses poèmes mêlent occitan et français, et sont autant de portraits en rime de la vie quotidienne de Toulouse au XIXe siècle, dévoilant les mœurs et coutumes de son époque.