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Lettre de Frédéric Mistral à Ulysse Boissier : 7 juin 1905
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Ulysse Boissier ?


Félibre parisien à qui l’on doit de la plupart des prises de vues photographiques parisiennes de Mistral.

Il a été aussi professeur au collège Chaptal à Paris et secrétaire de La Brandade, l’association des Gardois de Paris qui organisait des dîners entre 1895 et 1901.

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Lettre de Frédéric Mistral à Ulysse Boissier : 12 janvier 1905
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Ulysse Boissier ?


Félibre parisien à qui l’on doit de la plupart des prises de vues photographiques parisiennes de Mistral.

Il a été aussi professeur au collège Chaptal à Paris et secrétaire de La Brandade, l’association des Gardois de Paris qui organisait des dîners entre 1895 et 1901.

Description de la lettre

Cette lettre est particulièrement intéressante puisqu’elle révèle l’origine du nom de "Mirèio" : “car c’est à ma mère seule que j’avais entendu dire ce joli nom de Mireille”.
La correspondance entre Frédéric Mistral et Ulysse Boissier
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Ulysse Boissier ?


Félibre parisien à qui l’on doit de la plupart des prises de vues photographiques parisiennes de Mistral.

Il a été aussi professeur au collège Chaptal à Paris et secrétaire de La Brandade, l’association des gardois de Paris qui organisait des dîners entre 1895 et 1901.

Description de la correspondance

Dans la lettre du 12 décembre 1886, Mistral s’indigne suite à l’attaque d’un “normalien anonyme” dans le Temps du 10 décembre 1886 publiée sous le titre de "Chronique : la question des patois et des félibres". (Article disponible en suivant ce lien)
Ce type d’attaque est très emblématique de ce à quoi Mistral était alors confronté : bien que comportant nombre d’erreurs et d’approximations, probablement dues à une méconnaissance des questions de langue et littérature occitanes, les critiques lui reprochaient souvent de s’attaquer à l’unité française. Ce qui mena Mistral à souvent mettre en avant, et ce avec beaucoup de vigueur, son patriotisme.

Il est également intéressant de remarquer que les reproches de fond faits alors à Mistral sont très proches du discours opposé aujourd’hui aux langues régionales.

La lettre du 12 janvier 1905 est particulièrement intéressante puisqu’elle révèle l’origine du nom de "Mirèio" : “car c’est à ma mère seule que j’avais entendu dire ce joli nom de Mireille”.