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L’occitan pels nulasses - Retorn sus l'actu del mes de genièr
Al programa : en occitan e amb umor, la pèrda del triple A e las eleccions presidencialas que venon.
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L’occitan pels nulasses - Enlòc amb un accent
ENLÒC, es un grop de punk rock que canta en occitan, mas pas sonque. Lo triò ven de sortir son primièr album. Aquò descofa, es risolièr e intelligent. Que de rasonhs de las bonas per que Arnaud e Jean s'i interessan uèi dins Occitan Pels Nulasses.
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L’occitan pels nulasses - Ives Roqueta
Es un dels mai bèls poètas occitans contemporanèus qu'anam descobrir uèi dins Occitan Pels Nulasses. Ives Roqueta nasquèt a Sèta coma Brassens, es pas l'unic punt commun entre los dos òmes.
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L’occitan pels nulasses - Arnaud Cance
Arnaud Cance, lo cantaire avaironés, es lo convidat d'Arnaud e Jean uèi. Arnaud a jà pas mal borlingat al sen de mantuna formacions musicalas ont l'occitan es totjorn present.
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La lebreta ; A Cuzal
La Granja. Collecteur
Lo canton - La maison
C’est dans la maison familiale que les premiers savoirs sont acquis par le jeune enfant.
Le répertoire qui lui est transmis est riche et varié. Cette transmission s’appuie sur l’expression vocale et sonore mais passe aussi par les sensations du corps et de l’espace.
À chaque âge correspond un répertoire : berceuses et sauteuses en son et en mouvement, jeux de doigts et de mains, danses et rondes, formulettes à mémoriser, animaux, êtres fantastiques, prières…

[Découvrir... paroles et sons des Causses du Quercy, paraulas e sons del Causse, p. 17]
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Som Som ; L'aiga de ròsa
La Granja. Collecteur
Lo canton - La maison
C’est dans la maison familiale que les premiers savoirs sont acquis par le jeune enfant.
Le répertoire qui lui est transmis est riche et varié. Cette transmission s’appuie sur l’expression vocale et sonore mais passe aussi par les sensations du corps et de l’espace.
À chaque âge correspond un répertoire : berceuses et sauteuses en son et en mouvement, jeux de doigts et de mains, danses et rondes, formulettes à mémoriser, animaux, êtres fantastiques, prières…

[Découvrir... paroles et sons des Causses du Quercy, paraulas e sons del Causse, p. 17]
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Arri Arri ; Campanas ; Maneta
La Granja. Collecteur
Lo canton - La maison
C’est dans la maison familiale que les premiers savoirs sont acquis par le jeune enfant.
Le répertoire qui lui est transmis est riche et varié. Cette transmission s’appuie sur l’expression vocale et sonore mais passe aussi par les sensations du corps et de l’espace.
À chaque âge correspond un répertoire : berceuses et sauteuses en son et en mouvement, jeux de doigts et de mains, danses et rondes, formulettes à mémoriser, animaux, êtres fantastiques, prières…
Maneta est une formulette qui se dit en frottant la main du petit enfant pour lui faire découvrir sa main.

[Découvrir... paroles et sons des Causses du Quercy, paraulas e sons del Causse, p. 17]
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Bonnemason, Jean
Cassou, Albert
Albert Cassou a prêté un ensemble de 4 cassettes audio contenant des témoignages de son père, Henri Cassou (1916-2003), afin qu'elles soient numérisées. Ces cassettes ont été numérisées par le CIRDOC-Institut occitan de cultura en décembre 2017, sous le nom « Fonds Albert Cassou ».

Ces enregistrements, réalisés par Jean Bonnemason en 1992 et 1994, ont été réalisés à Lembeye dans la cuisine pièce à vivre d'Henri CASSOU; Jean Bonnemason a fait parler Henri CASSOU et son cousin René CANTON (tous deux originaires de Juillacq) sur les moeurs, façons de vivre et particularités linguistiques du parler local.

Par ailleurs, Albert Cassou a exploité et traduit les écrits de son père (partiellement écrits en gascon mais majoritairement en français) dans le livre "Au Vilatjòt", dont une copie numérique a été déposée avec les présents enregistrements. En début de livre se trouve la présentation d' Henri Cassou.
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Hons Peir de Buganda
Bigué, Pierre (1906-1987)
Giannerini, Pierre-Louis

Le fonds Peir de Buganda (Pey de Bugando)

Présentation des producteurs


Professeur d'Histoire à Oloron Sainte-Marie, Pierre-Louis Giannerini est attaché à l'histoire de sa ville et de sa région. Cet Oloronais a été le premier président de Radio Oloron à sa création en 1981. La même année, il créera l'association « Trait d'Union », qui a pour objectif de promouvoir la connaissance et la conservation du patrimoine local. Il a mis un point d'honneur à ce que la langue et la culture occitanes soient présentes sur les ondes de Radio Oloron. Pour cela, il a fait appel à diverses personnes comme Marcelin de Lurbe, conteur et auteur de chansons, Jean Lassalle, présentateur du Festival de Siros et maire de Lourdios-Ichère (puis conseiller général et, à partir de 2002, député), Nathalie Menvielle et Robert Laborde, enseignants et créateurs de la Calandreta oloronaise, et Pey de Bugando, ancien instituteur, passionné par la vie locale.

Peir de Buganda (ou Pey de Bugando), de son vrai nom Pierre Bigué, est né à Aramits en 1906 où il décède en mars 1987. Dans les années 20, il entre à l'École Normale de Lescar où il suivra des cours de langue avec l’auteur Simin Palay. Cette rencontre le pousse à améliorer sa pratique de l'occitan et son écriture. Tout au long de sa vie, il cherchera à perfectionner son niveau et s'intéressera aux différents parlers des vallées pyrénéennes. Cette expérience avec Simin Palay fera l'objet d'une chronique conservée dans le fonds. A sa sortie de l'École, il est nommé instituteur dans le Vic-Bilh. Puis, vers 1932, Peir se rapproche du Béarn et enseigne de 1932 à 1951 à Féas (ouest d'Oloron). Même s'il n'a pas transmis l'occitan à ses enfants, – car à l'époque il valait mieux parler un français correct que l'occitan –, Pey continuait d'utiliser cette langue qu'il chérissait tant lorsqu'il allait faire un tour à la foire ou au marché d'Oloron.

Avant de réaliser des chroniques pour Radio Oloron, Peir a beaucoup écrit pour le journal La Dépêche de Toulouse dans les années 1982-1983. Il a également été pendant de nombreuses années correspondant pour le journal La République des Pyrénées à Aramits. Ses articles et brouillons d'articles sont précieusement conservés par son fils. Le chroniqueur s'est beaucoup intéressé à la politique nationale mais surtout locale dans ses articles, thèmes que l'on retrouve à plusieurs reprises dans le fonds (chronique sur la carrière d'Henri Laclau, maire d'Oloron de 1977 à 1983, les élections législatives de 1924 et 1928 ou encore le parcours politique d'André Labarrère). Par ailleurs, il s'adonnait à l'écriture de portraits de personnalités (Louis Barthou, etc.), d'ami(e)s proches (André Mariette, l’un des créateurs du Festival de Siros et Henricou) et d'habitants d'Oloron (notable, agriculteurs, voisins, etc.)

La notoriété grandissante de Peir de Buganda a tout naturellement conduit Pierre-Louis Giannerini à le contacter pour faire des chroniques sur la toute nouvelle radio Radio Oloron. Chaque semaine, les deux hommes se retrouvaient chez Peir pour l'enregistrement. Selon les dires de Jean-Claude Bigué, son fils, le surnom initialement choisi par son père était Peir de Buganga. Bugangue est un bois situé à Aramits dans lequel Peir et son père avaient pendant une quarantaine d'années chassé la palombe ensemble. Le nom « Peir de Buganda » aurait été inscrit par erreur (coquille journalistique) en signature des articles dans La Dépêche de Toulouse. Peir ne l'aurait jamais modifié par choix.

Présentation du contenu


Le fonds est divisé en trois parties :
- Patrimoine culturel ;
- Société ;
- Programmes radiophoniques généralistes.

Peir de Buganda choisissait librement ses interventions pour chaque chronique. Le plus souvent, au début de chaque enregistrement, Pierre-Louis Giannerini, alors animateur/journaliste, faisait un décompte (3-2-1-0) pour lancer la cassette avant de présenter Peir de Buganda, le thème du jour ainsi que la date et l'heure.

Peir lisait d'abord sa chronique en occitan, avant de la traduire en français. Il arrivait que l’animateur pose des questions au moment de l’introduire. Des programmations musicales (chansons ou enregistrements de concerts) viennent compléter certains enregistrements de chroniques. Des journaux d'informations locales ou nationales ainsi que des reportages sur la vie oloronaise sont également conservés dans le fonds.
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Hons Yvan Bareyre
Bareyre, Yvan

Le fonds Yvan Bareyre - Lous Cantayres de Came

Présentation du producteur


Yvan Bareyre est spécialiste de la restauration du bâti ancien, collecteur, chanteur, producteur de radio, acteur associatif, mais aussi membre de l'Académie gasconne (Academia gascona de Baiona – Ador). Acteur majeur du paysage culturel et patrimonial en Bas-Adour, il a réalisé de nombreuses collectes de mémoire notamment au sein de l'association Mémoire Vivante.

Le groupe Lous Cantayres de Came est né en 1972, porté par la volonté de Georges Bourdalès (1934-2014) et d’Yvan Bareyre de retrouver la culture et les chants du Bas-Adour. Ils ont ainsi réalisé un travail de collecte ethnographique auprès des anciens du village et créé et animé l’émission Adishatz monde de 1981 à 1985 sur Radio Adour Navarre. De 1977 à 2013, ils ont enregistré sept disques et cassettes retraçant les moments forts de leurs spectacles de chants et de contes.

Présentation du contenu


Le fonds sonore comporte trois axes.
L’essentiel des enregistrements d’émissions de radio porte sur l’émission en gascon Adishatz Monde sur Radio Adour Navarre. Elle est alors le reflet de moments de vie enregistrés chez l’habitant évoquant les traditions et les coutumes d’autrefois. En parallèle, l’émission rediffuse les spectacles de chants et de contes des Cantayres de Came.
Une partie du fonds est consacrée à l’enregistrement des soirées des Cantayres de Came. Dans ces soirées, le conte prend une grande place avec Georges Bourdalès et le merveilleux Maurice Pocheluberry (1905-1989). Aussi, de nombreuses répétitions des chanteurs réalisées chez des anciens du village témoignent de la démarche ethnographique et de la volonté de mettre en valeur l’histoire locale et de maintenir le lien entre générations.
Les collectes ethnographiques menées auprès des anciens de Came et des villages voisins ont notamment permis de révéler l’histoire du village et de découvrir le patrimoine particulier des chants de bateliers et de l’Adour. Empruntant à la tradition du chant gascon, ces chants de marins à deux voix égales sont principalement en français mais toujours d’origine populaire.
L’ensemble du fonds se situe entre 1977 et 1996.

Historique de la conservation


Le présent fonds a été déposé par Yvan Bareyre aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
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