Recèrca

Tipe : Libre / Data : 1890
Consulter sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k229402b/f40.item
Vinols de Montfleury nous explique dans sa préface de l'ouvrage que « dans cette partie du Velay circonscrite par les montagnes, on parle le pur Vellavien ; dans cette contrée tout est méridional, le caractère, le parler et les allures de la population ».

Son dictionnaire est publié pour la première fois dans les Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, (tome 34, 1878-1889). Il comporte deux parties : une première consacrée aux observations grammaticales et conjugaisons, une seconde consacrée au vocabulaire patois Vellavien-Français, puis du vocabulaire Français-patois Vellavien, complétée par un supplément et des poésies patoises.
Mise en ligne : 05/01/2017
Mise en ligne : 05/01/2017
Tipe : Manuscrit / Data : 1939
Tapuscrit accompagné de notes manuscrites d'une étude linguistique et ethnographique sur la commune d'Étroussat (Allier).

Aimé Ferrier (Auguste Antoine à l’état-civil) naît le 6 avril 1896 à Étroussat (Allier), le village où ses parents sont nés eux-aussi. Il grandit au hameau des Noirs, dans la propriété de son grand-père maternel Bonnamour, où son père travaille comme viticulteur pépiniériste.
Instituteur public, il enseigne après la Premère guerre dans les écoles normales de Varzy (Nièvre), de Périgueux (Dordogne), puis en 1935 à l’école primaire supérieure d’Ussel (Corrèze). En 1948 il devient directeur du collège de Cusset (Allier). Il se retire à Ébreuil, commune de naissance de son épouse Jeanne Pinel, où il décède le 25 mars 1975. Curieux de théorie des nombres, Aimé Ferrier reste célèbre pour avoir déterminé en 1951 le plus grand nombre premier alors connu. Ce nombre de 44 chiffres lui avait demandé deux mois de calcul à la main. L’usage des ordinateurs supplante peu après le calcul humain, ce qui fait d’Aimé Ferrier le dernier détenteur de ce record.
Aimé Ferrier rédige en 1939 une monographie sur le parler de son village natal, sa langue maternelle. Cette étude a été consultée et utilisée par plusieurs dialectologues universitaires. Simone Escoffier, auteur d’une thèse intitulée «La rencontre de la langue d’oïl, de la langue d’oc et du francoprovençal entre Loire et Allier » (1958), qualifie ce travail d'Aimé Ferrier de « monographie tout à fait remarquable ». Il est pourtant resté inédit.

Présentation par Jean-Michel Effantin

Mise en ligne : 16/05/2019
Tipe : Film documentari / Data : 2023
“Una lenga pòt morir ?” Entre 2021 e 2022 avèm menat un projècte pesuc : far un estat dels luòcs de la lenga occitana sul Segalar avaironés e questionar lo monde sus l'avenidor d'aquela lenga.

Avèm desplaçat un estudiò de comuna en comuna e realizat gaireben 300 entrevistas ambe d'Occitans de lenga naturala o de lenga apresa. Vaquí çò que n'es dins aquel documentari.

[font : IEO Aveyron]

Mise en ligne : 01/03/2024