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Auteur : CIRDÒC-Mediatèca occitana
Type de Document : Fonds documentaire
Sauf
Type de Document : Texte electronique
Sujet : Littérature occitane -- France -- Provence (France) -- 19e siècle
Type de Document : Colloque
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Tipe : Fons documentari
Jusèp Sandaran Bacaria (1875-1942)




Histoire du fonds


Jusèp Sandaran Bacaria (1875-1942) est un auteur originaire de Canejan, village du Val d'Aran (Espagne) près de la frontière Franco-Espagnole.

Il écrit principalement dans un dialecte gascon aranais se rapprochant de celui des villages frontaliers de la Haute-Garonne, mais aussi en catalan.

Vers 1906, il commence une production linguistique en défense de sa langue natale aranaise. On trouve dans ses archives personnelles la Grammaire aranaise et des fiches lexicales de Jusèp Condò Sambeat, qui ont servi à la rédaction d'El parlar de la Vall d'Aran de Joan Coromines, ouvrage de référence sur l'occitan du Val d'Aran. A cela s'ajoutent des fiches lexicales inédites produites très certainement par Jusèp Sandaran Bacaria lui-même.

L'auteur aranais a vécu une partie de sa vie à Barcelone où il prononce, le 23 octobre 1913, un discours intitulé « La Val d'Aran i els Catalans ».

Témoin d'une culture qu'il souhaite faire connaître, il recense les coutumes aranaises dans un recueil également présent dans ses archives.

Poète, il présente ses textes à divers concours des jeux floraux et les publie dans diverses revues occitanes comme Era Bouts dera Mountanho. En 1912, il finalise un manuscrit mêlant des poèmes en catalan et en aranais dédiés à sa femme, Felipa Sambeat Romeva.

Il meurt à Barcelone en 1942.

En 2005, ses archives ont fait l'objet d'un dépôt aux Archives Générales du Val d'Aran et sont également maintenant consultables en partie dans Occitanica.

Modalités d'entrée :

Dépôt

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

Fiche de fonds du Répertoire du patrimoine culturel occitan des archives de Jusèp Sandaran Bacaria conservées aux Archives Générales du Val d'Aran

Intervention d'Aitor Carrera Baiget : Un apòrt important ara coneishença dialectologica der aranés e deth gascon pirenenc orientau : es documents de Jusèp Sandaran, Dans "L'Occitanie invitée de l'Euregio. Liège 1981 - Aix-la-Chapelle 2008 : Bilan et perspectives : Actes du Neuvième Congrès International de l'AIEO, Aix-la-Chapelle, 24-31 août 2008 / éd. par Angelica Rieger ; avec la collab. de Domergue Sumien", éditions Shaker (Aachen), 2011

Description du fonds

Le fonds Jusèp Sandaran Bacaria est composé de poésies. Celles-ci sont consultables en lignes sur Occitanica :

- Poesies de Joseph Sandarán Bacaria á sa esposa Felipa Sambeat Romeva. 1èr maig 1912. Barcelona
- Poesia aranesa : Idili / Jusèp Sandaran Bacaria [Texte dactylographié]
- Idili / Jusèp Sandaran Bacaria [Texte manuscrit]
- Era mía pastura / Jusèp Sandaran Bacaria [texte manuscrit]
- Era mía pastura, version avec corrections / Jusèp Sandaran Bacaria [texte manuscrit daté]
- Et Noste Pastú / Jusèp Sandaran Bacaria [texte manuscrit]
- Et nòste pastou / Jusèp Sandaran Bacaria [texte manuscrit]
- Et Noste Pastú, version annotée avec corrections / Jusèp Sandaran Bacaria [texte manuscrit]

Dates extrêmes :

1866 - 1930

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (gascon)

Catalan

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

AGA

Instruments de recherche disponibles :

L'inventaire du fonds Jusèp Sandaran Bacaria aux Archives Générales du Val d'Aran est consultable en suivant ce lien

Ressources en ligne

Documents numérisés sur Occitanica : voir partie Description du fonds

Mise en ligne : 12/02/2014
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Le <i>Dictionnaire patois-français du Vivarais</i> de Jules Seuzaret(Coll. CIRDÒC)

Jules Seuzaret (1874-1956) est un félibre ardéchois, né à Juvinas le 18 juillet 1874. À partir des années 1930, il occupe un poste de fonctionnaire des Eaux et Forêts à Constantine (Algérie).

Attaché à l’étude de sa région et à sa langue (occitan, parler du Vivarais), il consacre une partie de sa vie à la rédaction d’un Dictionnaire patois-français du Vivarais qui sera achevé en 1950. L’ouvrage en trois volumes comprenant plus de 2000 pages dactylographiées est resté inédit.

Cet ouvrage s'intéresse à l’étude linguistique de l’occitan dans ses parlers du Vivarais et recense plus de 30 000 termes et locutions. Les définitions sont données en français et complétées par de nombreux comparatifs, synonymes ou antonymes qui en précisent le sens. Elles contiennent également de nombreux dictons et proverbes, couplets de chanson populaire ou citation d’auteur occitan sur le modèle du Tresor dóu Felibrige de Frédéric Mistral.

Ce chantier mettra Jules Seuzaret en rapport avec de nombreux autres félibres et érudits avec qui il entretient une importante correspondance en occitan et en français.

Modalités d'entrée :

Dépôt des héritiers en 2012

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds Jules Seuzaret comprend le Dictionnaire patois-français du Vivarais (dactylographié) relié en trois volumes, ainsi que la correspondance érudite de Jules Seuzaret complétée par les documents de travail, études et autres oeuvres publiées ou inédites.

Dates extrêmes :

1895-1950

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (Vivaro-alpin), français

Importance matérielle :

0.5 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Documents iconographiques

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

Fonds en cours de traitement

Instruments de recherche disponibles :

ø

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultable au CIRDOC, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants-droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

Mise en ligne : 23/03/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Jules Couder (6 août 1845- 31 juillet 1931), né et mort à Uzès (Gard), est un poète local d'expression occitane.
Professeur de Lettres au collège d'Uzès, il compose de nombreux textes en occitan, poésies, chansons, fables et contes, parfois signés de son pseudonyme « Jicé ».
Il est également l'auteur d'articles et chroniques d'histoire locale.

Selon les cahiers de manuscrits autographes entrés à sa mort dans les collections de la Bibliothèque municipale d'Uzès, c'est à l'âge de la retraite, à partir des années 1910 jusque vers 1922, que Jules Couder compose des centaines de petites pièces qu'il intitule « vers patois ». Cette œuvre, en grande partie inédite, est réalisée par divertissement personnel. Jules Couder est emblématique d'une génération d'érudits locaux qui prennent goût à l'écriture en langue occitane en suivant l'exemple des écrivains de la renaissance félibréenne qui essaiment depuis la fin du XIXe siècle dans l'ensemble de l'espace occitan.

À sa disparition, les cahiers manuscrits de Jules Couder entrent dans le fonds local de la Bibliothèque d'Uzès où il sont aujourd'hui conservés.

Accroissement :

Fonds clos

Modalités d'entrée :

Don de Jules Couder

Fonds complémentaire :

Ø

Description du fonds

Le fonds Jules Couder est composé de deux grands ensembles : un premier regroupant son œuvre française et occitane, et un second ensemble constitué par ses papiers personnels et sa correspondance.

Plan de classement du fonds Jules Couder

FL 1132-1/ Œuvres de Jules Couder
1-11/ Poésies, fables, contes et chansons en occitan
12-13/ Écrits en français
12/ Théâtre
13/ Chroniques d'histoire locale
14/ Transcription d'œuvres de Jules Couder et autres par M. Maffre

FL 1132-2 Papiers personnels et correspondances à Jules Couder

Dates extrêmes :

1910-1925 [c.a.]

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Français

Importance matérielle :

0.10 mètre linéaire, 14 volumes, 1340 pages

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

FL

Instruments de recherche disponibles :

Catalogue en ligne des collections de la médiathèque d'Uzès

Ressources en ligne

ø

Conditions d'utilisation

© Médiathèque d’Uzès

Conditions de consultation :

Sur demande motivée, ou consultation de la version numérisée.

Conditions de reproduction :

Pas de photocopies, possibilité d’impression des feuillets numérisés

Mise en ligne : 25/03/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Musée d'Aquitaine, Bordeaux. ©Félix Arnaudin, Charbonniers de Salles (Dufaure et Villetorte), 18 juin 1897. N° d'inventaire 91-8-539
Simon Arnaudin (1844-1921), dit Félix Arnaudin, né à Labouheyre (Landes), a collecté tout au long de sa vie des données ethnographiques sur la vie rurale de la Grande Lande.
Après la loi du 19 juin 1857 relative à l’assainissement et à la mise en culture des Landes de Gascogne, Félix Arnaudin prend conscience de la mutation en train de s’opérer dans la civilisation agro-pastorale locale et décide de recueillir chants, contes populaires et proverbes. Petit propriétaire vivant du revenu de quelques métairies, il emploie tout son temps disponible à la collecte systématique de données ethnographiques relatives à cet espace et à ses habitants, qu’il complète par un projet de dictionnaire français-gascon resté inédit jusqu’en 2001.
À partir de 1874 Félix Arnaudin complète sa collecte par une campagne photographique méthodique, tentant de fixer par l’image les paysages, traditions et activités de la Grande Lande au moment où ceux-ci subissent d’importantes transformations.

À son décès, l’ensemble de ses biens est légué par testament à son neveu, Camille Arnaudin, à l’exception de son matériel photographique (clichés et instruments) qui revient à Paul Dourthe, son cousin germain. Ce dernier s’engage en échange à publier une partie de la documentation photographique rassemblée par Félix Arnaudin. C'est chose faite en 1928 avec Au temps des échasses, présentant 75 clichés et légendes de Félix Arnaudin (Arnaudin, Félix, Au temps des échasses, [s.l.] : Paul Dourthe, 1928).

À la mort de Paul Dourthe, son épouse décide de faire don de l’ensemble du fonds photographique Félix Arnaudin au Musée d’Aquitaine.

Musée d'Aquitaine, Bordeaux. ©Félix Arnaudin. Grands pins de Guentes, 8 octobre 1890. N° d'inventaire 66-27-919

Modalités d'entrée :

Don de Mme Dourthe en 1966

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

Archives départementales des Landes - Fonds Félix Arnaudin

Bibliothèque municipale de Bordeaux - Fonds Félix Arnaudin

Description du fonds

Entre 1874 et 1921 Félix Arnaudin parcourt la région des Landes avec son matériel photographique et entreprend de fixer les paysages, bâtiments, métiers et personnages de la société traditionnelle landaise en cours de mutation.

Son fonds photographique contient ainsi des clichés sur plaques de verre mais également des épreuves originales sur papier rendant compte d’une des entreprises ethnographiques les plus complètes sur la mutation d’une société rurale en pleine révolution industrielle.

Ce fonds iconographique est accompagné de quatre répertoires manuscrits et d'un répertoire général qui documentent une partie des prises de vue.  Ces répertoires livrent pour chaque cliché recensé des informations sur la prise de vue (sujet, date, heure, temps, position du photographe, angle de vue) et des informations techniques (diaphragme utilisé, temps de pose, marques des glaces, révélateur). Par ailleurs, une partie des clichés reproduit des documents d’archives relatifs à l’histoire de la région et à ses communautés d’habitants, réunis par Félix Arnaudin dans le cadre de ses recherches.

En complément, 376 plaques de verre qui faisaient partie du fonds photographique originel sont aujourd’hui conservées aux Archives départementales des Landes, au sein du fonds Félix Arnaudin (69J43- 69J45).

Dates extrêmes :

 1874-1921

Langues représentées dans le fonds :

Français 

Importance matérielle :

  • 3218 clichés sur plaque de verre
  • 2714 épreuves originales sur papier
  • 318 unités documentaires manuscrites

Supports représentés :

Manuscrits

Documents iconographiques

Pour le consulter

Identifiant du fonds : 66.27

 

Instruments de recherche disponibles :

Les inventaires et le répertoire méthodique rédigés à l’entrée du fonds dans les collections du Musée d’Aquitaine ont été entièrement reproduits et publiés dans : Félix Arnaudin, Œuvres Complètes : Index Général, Bordeaux : Parc naturel régional des Landes de Gascogne : Ed. Confluences, 2007.

Florence Galli-Dupis, Les fonds Félix Arnaudin (1844-1921), collecteur et photographe des « Choses de l’ancienne Grande Lande », In Base de données Archivethno France. Disponible en ligne (consulté le 05/01/2015)

Ressources en ligne

Le fonds numérisé est disponible en ligne via le moteur de recherche Collections du musée

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

 

Conditions de reproduction :

Les reproductions sont soumises à autorisation par contrat et à facturation. Cette dernière porte sur la fourniture des images sous forme numérique. 
Les demandes d’autorisations doivent être adressées au musée d'Aquitaine à l’adresse suivante : 20 cours Pasteur, 33000 Bordeaux.

Mise en ligne : 25/03/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Musée d'Aquitaine, Bordeaux. ©Félix Arnaudin, dénicheurs, Capbat, 9 novembre 1893.
Simon Arnaudin (1844-1921), dit Félix Arnaudin, né à Labouheyre (Landes), a collecté tout au long de sa vie des données ethnographiques sur la vie rurale de la Grande Lande.

Après la loi du 19 juin 1857 relative à l’assainissement et à la mise en culture des Landes de Gascogne, Félix Arnaudin prend conscience de la mutation en train de s’opérer dans la civilisation agro-pastorale locale et décide de recueillir chants, contes populaires et proverbes. Petit propriétaire vivant du revenu de quelques métairies, il emploie tout son temps disponible à la collecte systématique de données ethnographiques relatives à cet espace et à ses habitants, qu’il complète par un projet de dictionnaire français-gascon resté inédit jusqu’en 2001.

De son vivant, il ne publie qu’une infime partie de tous les chants et contes populaires qu’il a collectés au sein du recueil des Contes populaires recueillis dans la Grande Lande, le Born, les Petites-Landes et le Marensin (Paris : E. Lechevalier ; Bordeaux : Moquet, 1887) et des deux tomes du recueil des Chants populaires de la Grande-Lande et des régions voisines (Paris : H. Champion, 1912). Il conserve jusqu’à son décès tous ses documents de travail : un ensemble conséquent de contes, proverbes et chants transcrits, répertoriés et analysés.

Par testament, Félix Arnaudin lègue à son neveu Camille Arnaudin tous ses documents, à l'exception de son matériel photographique qui revient à son cousin Paul Dourthe. En 1964, Adrien Dupin et Jacques Boisgontier, qui souhaitent publier l’œuvre d’Arnaudin signent avec les héritiers de Camille Arnaudin un contrat d’édition qui prévoit le transfert de l’ensemble des manuscrits. Ce projet de publication est finalement pris en charge par le « Groupement des Amis de Félix Arnaudin », créé le 12 décembre 1965, sans succès. En 1974, le contrat d’édition signé avec la famille de Camille Arnaudin est finalement révisé. Il prévoit de confier l’ensemble des manuscrits de Félix Arnaudin à l’écomusée de la Grande-Lande, propriété du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne.

En 1991, le Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne décide de déposer le fonds Félix Arnaudin aux Archives départementales des Landes.

En 1997, le fonds s’accroît avec une donation de la famille d’André Poudenx - à qui avait été confié le soin d’éditer les Proverbes après le décès de Félix Arnaudin - d’un ensemble de manuscrits de l’ethnologue.

Si l’ensemble des manuscrits et documents de travail de Félix Arnaudin sont conservés aux Archives départementales des Landes, le Musée d’Aquitaine conserve aujourd’hui tout son matériel photographique et la Bibliothèque municipale de Bordeaux sa bibliothèque.

Musée d'Aquitaine, Bordeaux. ©Félix Arnaudin. Jeune femme, fin XIXe siècle. N° d'inventaire 66-27-2557Modalités d'entrée :

Dépôt du PNR des Landes de Gascogne en 1991

Accroissement :

Fonds clos 

Fonds complémentaires :

Musée d'Aquitaine (Bordeaux) - Fonds Félix Arnaudin

Bibliothèque municipale de Bordeaux - Fonds Félix Arnaudin

Description du fonds

Le fonds Félix Arnaudin contient les documents de travail de l’ethnologue et rend compte de sa production dans différents domaines : collecte de chants, contes et proverbes, recherches historiques, travaux photographiques, recherches lexicographiques et toponymiques.

On trouvera dans ce fonds : notes de travail, manuscrits d’ouvrages avec annotations en vue d’édition, documents personnels (papiers de famille, actes notariés), documents préparatoires en vue de l’édition d’ouvrages, coupures de presse, correspondance avec des érudits et des spécialistes des langues romanes, répertoires multiples. Quelques tirages photographiques figurent également dans ce fonds.

Dates extrêmes :

1844 - 1921

Langues représentées dans le fonds :

 Français, Occitan (gascon)

Importance matérielle :

 

Supports représentés :

 - Manuscrits/Tapuscrits

 - Documents iconographiques


Pour le consulter

Identifiant du fonds :

 69J 1- 69J 63

Instruments de recherche disponibles :

Archives départementales des Landes, Inventaire du Fonds Félix Arnaudin 69 J, n° 1482 - juin 1992.

Florence Galli-Dupis, Les fonds Félix Arnaudin (1844-1921), collecteur et photographe des « Choses de l’ancienne Grande Lande », In Base de données Archivethno  France, Disponible sur :http://www.garae.fr/spip.php?article206 (consulté le 27/04/2016).

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Voir les conditions de consultation sur le site des Archives départementales des Landes

Conditions de reproduction :

ø

Mise en ligne : 25/03/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Césaire Daugé (1858-1945) est un prêtre landais qui, en parallèle de ses activités ecclésiastiques, a produit une importante oeuvre littéraire en gascon comme en français.

Membre de L’escòla Gaston Febus et de la Société de Borda (dont il fut président de 1921 à 1945) il écrit des textes littéraires (théâtre, poésie et prose) mais aussi de nombreux articles touchant à l’histoire, la culture populaire, la littérature, la philologie. Il contribue ainsi régulièrement à plusieurs revues : Reclams de Biarn e de Gascougne, La Votz de la Tèrra ou encore le Bulletin de la Société de Borda. Dès 1896 il participe au mouvement félibréen, et sera nommé majoral du Félibrige en 1926

 

Modalités d'entrée :

 Dépôt

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

D’autres sources primaires concernant l’auteur sont présentes dans les fonds de la Société du Borda, de la médiathèque de Pau ou encore de l’Académie nationale des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Bordeaux.

Description du fonds

Le fonds Césaire Daugé est une importante source de connaissance de la vie mais aussi l’œuvre de l’auteur gascon. Outre des documents ayant trait à sa vie personnelle, de nombreux éléments sont en lien avec son œuvre littéraire : livres, manuscrits de textes publiés par l’auteur, documents préparatoires ainsi que documentation sur les sujets littéraires et historiques étudiés par Césaire Daugé.

Plan de classement du fonds :

I - 3 F 1 à 176 - Dossiers topographiques

3 F 1 à 173 : Papiers sur l’évêché d’Aire de 1699 à 1914. Administration ; enseignement ; rétablissement du culte (an X) ; dîme ; retraite ecclésiastique ; pèlerinage. Notes historiques de Aire à Ygos (familles, fabriques, etc.)
3 F 174 : Département des Basses-Pyrénées ; Bayonne ; l’évêché et les paroisses des Landes (An XIII-1823).
3 F 175 : Département des Basses-Pyrénées. Notes historiques et familles diverses : communes d’Arzac, Bilhères, Diusse, Lanux, chapitre de Saint-Esprit (1633-XXe siècle).
3 F 176 : Département du Gers. Communes de Aurensan, Barcelone, Bernède, Maumusson, Moncla, Mongaillard, Montguilhem, Saint-Germé, Saint-Mont, Vergoignan (1519-XIXe siècle).

II - 3 F 177 à 232 – Dossiers de familles

Procédures. Livres de raison. Cessions de biens. Généalogie. Notices nécrologiques. Correspondance de famille et d’intérêts. Titres de famille et de propriété. Comptes et correspondance.

III - 3 F 233 à 253 – Dossiers documentaires

3 F 233 : Parlement de Bordeaux. Fragments d’un recueil d’arrêts (XVIIIe siècle).
3 F 233 : Parlement de Bordeaux. Fragments d’un recueil d’arrêts (XVIIIe siècle).
3 F 234 : Etats Généraux. Sénéchaussée de Lannes (1649).
3 F 235 : Réunion à la Généralité de Bordeaux, du Marsan, Tursan, Gabardan, Lannes, Bayonne et Labourt (1775).
3 F 236 : Evêché d’Aire (XVIe-XIXe s.). Procès-verbal de l’état des églises et bénéfices en 1572 (copie et notice historique).
3 F 237 : Jansénisme. Lettres doctrinales imprimées (1753).
3 F 238 : Révolution, actes des pouvoirs centraux et locaux (répertoire alphabétique de lois). Jugements de la Commission de Montadour (copies). Affaires religieuses : séquestre, suppression de la dîme, lettre pastorale de l’évêque de Santander pour protéger les ecclésiastiques français émigrés, pamphlet contre-révolutionnaire, manuscrit intitulé « Les Principes du chrétien persécuté ». (1789-an VII)
3 F 239 : Elections, affaires politiques (affiches, propagande, journaux). Franc-maçonnerie. (XIXe-XXe).
3 F 240 : Fêtes et cérémonies (1828-XXe).
3 F 241 : Hygiène, santé ; épidémie ; médecine (1829-1858).
3 F 242 : Agriculture. Forêts, dunes, moulins. (An XI-1813).
3 F 243 : Poids et mesures, tableau d’équivalence (1807).
3 F 244 : Armée, guerre (1814-1850).
3 F 245 : Ecole centrale des Landes, distribution des prix (1800).
3 F 246 à 250 : Justice. Parquet du tribunal de Mont-de-Marsan, correspondance générale (XIXe). Notes du personnel judiciaire (1820-1825). Registre des affaires criminelles et correctionnelles (1816-1821). Comptes rendus de l’administration de la justice criminelle (1825-1829). Tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan (an VII-an XI).
3 F 251 : Cultes. Séparation de l’Eglise et de l’Etat. Associations. Pèlerinages. Affaires diverses (XXe).
3 F 252 : Mutualité scolaire, statuts, règlement, notice (XXe).
3 F 253 : Prison de Mont-de-Marsan, règlement, personnel, détenus, mobilier (1829-1851).

IV - 3 F 254-263 - Œuvres historiques, religieuses et littéraires de Césaire Daugé.

3 F 254 : Copies et analyses de textes prises aux Archives nationales, départementales et communales, ainsi que chez les notaires.
3 F 255 : Notes et notices sur des sujets divers : armorial, métayage, le mariage et la famille en Gascogne, la tombe discoïdale en Gascogne.
3 F 256 : Œuvres littéraires et félibréennes.
3 F 257 : Conférence sur la Gascogne chrétienne.
3 F 258 : Œuvres religieuses, sermons et cantiques, conférences ecclésiastiques par l’abbé Daugé et les autres curés de son doyenné.
3 F 259 : Notes éparses sur des sujets historiques.
3 F 260 : [Cote vacante]
3 F 261 : Papiers de Léon Sorbets (1827-1889), médecin et archéologue d’Aire-sur-Adour.
3 F 262 : Œuvres littéraires diverses, comédies, poésies et chansons de piété…
3 F 263 : Plans, cartes, dessins, photographies, gravures.

V - 3 F 264-301 - Minutes de notaires

Etudes classées par ordre alphabétique de communes.

VI - 3 F 492- 533 - Documents entrés à partir de 1993

Documents personnels, correspondances, publications diverses et surtout, travaux félibréens de 3F501 à 3F513.

Dates extrêmes :

 1858-1945

Langues représentées dans le fonds :

 Latin ; français ; occitan (gascon)

Importance matérielle :

 

Supports représentés :

 - Manuscrits/Tapuscrits

 - Monographies Imprimées

 - Périodiques (presse et revues)

 - Documents iconographiques

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

3F1 - 3F533

Instruments de recherche disponibles :

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Voir les conditions de consultation sur le site des Archives départementales des Landes

Conditions de reproduction :

 

Mise en ligne : 26/03/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Correspondances issues du fonds Bacquié-Fonade (Coll. CIRDÒC, BAC-A)

Félibre toulousain, Pierre Bacquié-Fonade, plus connu sous le nom de Marius Bacquié-Fonade, (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé en 1904 l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse fondé en 1907. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino en 1893 et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933) . Il est élu majoral du Félibrige en 1905.
Très intéressé par le mouvement régionaliste qui se développe à la fin du XIXe siècle, il rencontre Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque régionaliste sur Toulouse et le Languedoc. C’est à la fois par ses recherches personnelles et par les envois qu’il reçoit en qualité d’administrateur de la revue La Terro d’Oc qu'il constitue une des plus riches bibliothèques sur l'histoire de Toulouse. Cette collection est complétée par celle du secrétaire-adjoint de la revue, l'écrivain Danton Cazelles (1867-1961). Vendue en 2014, la collection de Marius Bacquié-Fonade a été acquise par le CIRDÒC pour sa partie occitane, une partie des collections sur l'histoire de Toulouse a été acquise par les Archives municipales de Toulouse.

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds Marius Bacquié-Fonade se compose de deux grand ensembles :

BAC-A : correspondances reçues et envoyées par Marius Bacquié-Fonade et Danton Cazelles.

BAC-B : manuscrits littéraires envoyées à Marius Bacquié-Fonade, Danton Cazelles ou Marguerite Navarre, en tant que responsables de la revue La Terro d’Oc.

Dates extrêmes :

1885 - 1946

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Occitan (provençal)

Occitan (gascon)

Français

Importance matérielle :

0.10 mètre linéaire, 250 feuilles environ

Supports représentés :

Le fonds comprend des manuscrits de correspondances ainsi que des pièces littéraires de différentes natures : poésie, prose, paroles de chanson, partition, dessin, conte.
Il comprend également quelques poèmes imprimés.

Importance matérielle :

Accéder à la correspondance numérisée entre Marius Bacquié-Fonade et Frédéric Mistral en ligne sur Occitanica

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

BAC

Instruments de recherche disponibles :

Accéder à la description détailllée du fonds

Conditions de consultation :

Consultable au CIRDÒC, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants-droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est possible sous réserve des impératifs de conservation des documents.

Mise en ligne : 09/02/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

La Société Archéologique de Béziers est fondée en 1834 par l’avocat Jacques Azaïs (1805-1888) et le bibliothécaire André Boudard pour poursuivre les objectifs de l‘ancienne Académie de Béziers abolie avec la Révolution française. Elle prendra en 1859 son nom définitif de Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers. Dès son origine, elle organise plusieurs concours littéraires et historiques, et édite un bulletin annuel.

En 1838, la Société Archéologique de Béziers rend hommage à Pierre-Paul Riquet, créateur du Canal du Midi et personnage tutélaire de la Cité par l’érection, au centre de la ville, d’une statue dont la réalisation est confiée au sculpteur David d’Angers. À cette occasion la Société lance son premier concours de poésie qui attire un grand nombre de participants. Les premiers textes reçus sont écrits en langue d’oc - l’un écrit par Jean-Antoine Peyrottes (1813-1858) poète-potier de Clermont-l’Hérault, l’autre par un certain Villar, sous-lieutenant au 58e régiment d’infanterie de ligne - ce qui détermina le jury à ouvrir un concours spécial consacré à la langue d’oc. Ce concours prendra successivement le nom de concours de « poésie patoise », puis concours de « poésie néo-romane » en 1860 et de « poésie en langue occitane » à partir de 1925. En 1966, il se divisera en deux sections, l’une consacrée à la « Poésie occitane (Section III) » et l’autre aux « Contes, nouvelles, pièces de théâtre en un acte en langue d’oc (Section V) ». Le concours durera jusqu’en 1984.

Pour y participer, il fallait composer un poème en occitan, avec un glossaire ou une traduction. Le poème devait rester anonyme et comporter une devise permettant d’identifier son auteur. Le règlement du concours imposait de suivre le modèle de « l’orthographe des troubadours du XIIe siècle » suivant les recommandations de Gabriel Azaïs, romaniste et éditeur du Breviari d’Amor de Matfre Ermengaud.

Créé 16 ans avant la fondation du Félibrige par Frédéric Mistral, le concours obtient rapidement une grande réputation. Ce qui fera dire à son fondateur Azaïs qu’il « a réveillé les muses méridionales et entassé dans nos archives de petits chefs-d’œuvre…». Il attirera des candidats originaires de toutes les régions occitanophones. Certains d’entre-eux se feront connaître par la suite par leurs écrits en occitan comme : Marius Girard, Albert Arnavielle, Léon de Berluc-Pérussis, Louis Astruc, Elzéar Jouveau, Michel Camelat...

Modalités d'entrée :

Dépôt de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 2011

Accroissement :

Fonds ouvert

Description du fonds

Cet ensemble regroupe les pièces reçues par la Société archéologique dans le cadre du concours de « poésie en langue occitane » ; principalement des poèmes, mais aussi théâtre, chansons, contes et nouvelles. Les textes, généralement accompagnés d'un glossaire ou d'une traduction en français, sont parfois complétés par des correspondances. La plupart des pièces conservées sont celles qui n’ont pas été primées par le jury et qui sont inédites.

Dates extrêmes :

1838-1984

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (languedocien)

Occitan (gascon)

Occitan (provençal)

Occitan (auvergnat)

Catalan

Français

Importance matérielle :

2,40 mètres linéaires

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

SAB

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire disponible en ligne

Ressource en ligne :

Pièces disponible sur Occitanica (mise en ligne en cours)

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants droits. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

Mise en ligne : 21/10/2013
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Calixte Lafosse (1842-1904), auteur romanais de La Manoore de vé Ruman (1878), Poésie (1880), Legenda Rumanaisa. Fondateur du journal d'opposition républicaine à l'Empire, "Le Jacquemart" en 1867. Ce journal est plusieurs fois saisi ou interdit. Parallèlement, il publie ses poésies et de la prose en patois romanais. Il part en Algérie en 1881 où il fonde le journal "Fantasia". De retour en France en 1891, il s'installe comme ébéniste et antiquaire à Romans où il fonde un nouveau journal "le culu de Jacquemart". En 1892, il quitte définitivement Romans pour l'Algérie, où il meurt en 1904. Tout au long de sa vie, Calixte Lafosse a écrit des articles et des poèmes

Modalités d'entrée :

 

Accroissement :

Fonds ouvert

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Le fonds est composé de quatre grandes parties :
- les papiers de la famille Lafosse (1803-1987)
- les œuvres et la documentation manuscrite de Calixte Lafosse (non datée)
- des œuvres imprimées (1868-1933)
- la bibliothèque de Calixte Lafosse (1617-1902)

Dates extrêmes :

1803-1987

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (vivaro-alpin)

Français

Importance matérielle :

0.80 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

58S1-1987

Instruments de recherche disponibles :

Répertoire numérique détaillé sur place

Ressources en ligne

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Librement communicable

Conditions de reproduction :

Conforme à la réglementation de la salle de lecture des Archives communales

Mise en ligne : 21/10/2013
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Albin Mazon (Largentière 1828 - Privas 1908), historien du Vivarais, directeur du télégraphe à l'agence Havas à Paris est l'auteur de nombreux ouvrages dont des récits de voyages en Ardèche publiés sous le pseudonyme de Docteur Francus.

Modalités d'entrée :

Don

Accroissement :

Fonds clos

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Les registres de l'Encyclopédie de l’Ardèche forment une partie du fonds Mazon, Ils se composent de notes, lettres, coupures de presse, documents originaux collectés par l'auteur au cours de ses recherches et classés alphabétiquement par localité, personnage ou sujet. Pour Albin Mazon, ce recueil de notes devait servir à un dictionnaire "historique, géographique, biographique, bibliographique, industriel et commercial" de l'Ardèche qui n'a jamais vu le jour.

Dates extrêmes :

XIIIe – XIXe

Langues représentées dans le fonds :

Français

Occitan (vivaro-alpin)

Importance matérielle :

24 pages

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

52 J 38

Instruments de recherche disponibles :

Répertoire numérique détaillé de la sous-série 52 J sur place

Ressources en ligne

Entrée patois de l'encyclopédie

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

 

Conditions de reproduction :

Reproduction soumise à autorisation.

Mise en ligne : 21/10/2013
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