Las houros perdudos est un manuscrit inédit du « pays des Vans », ancienne région attachée aujourd'hui à l'Uzégeois, rédigé vers la fin du XVIIe siècle.
Le CIRDÒC conserve une microforme de ce recueil qui semble aujourd'hui perdu. Néanmoins, cette copie, à l'instar du document source, est incomplète, le manuscrit original étant amputé de son début, de sa fin ainsi que de plusieurs feuillets de sa partie centrale. La pagination originale pouvant être suivie selon les indications présentes dans la partie supérieure centrale de chaque feuillet.
Le recueil est néanmoins suffisament complet pour demeurer compréhensible.
À manière d'un Jacques Roudil à Montpellier, son contemporain, le « sieur Martel » est un fervent défenseur de la cause locale. Il vante ainsi haut et fort les mérites de l'Uzégeois, notamment de la ville thermale naissante de Vals-les-Bains ou encore du château de Chambonas.
Bien qu'on puisse le qualifier de chansonnier « léger » presque carnavalesque, le texte n'en oublie pas pour autant les grandes questions politiques et religieuses de son temps.
La liro ensoulelhado d’Isidore Pagés poète narbonnais
La liro ensoulelhado est le titre d'un cahier de poésies en occitan écrites par Isidore Pagés, poète audois primé aux Jeux-floraux de l’Escolo audenco de Carcassonne en 1908 pour son poème « A la fountaïno ». Son cahier, rédigé au mois de février 1910, contient 39 poèmes dont plusieurs ont été primés aux concours de poésies à Carcassonne, Narbonne 1908 (La barbo), Cette 1908 (Uno beilho d’elecsîu), Avignon 1907 (Lou baquiè Guilhaumet), Béziers 1908 (Lou dourmi letargique), Montauban 1908 (Bernat lou tracassiè). Certains de ces poèmes ont été publiés au cours de l'année 1909 dans la Gazette mondaine de l'Aude et du Roussillon : Journal littéraire, artistique, théâtral, judiciaire et sportif, paraissant le dimanche.
Le manuscrit qui semble être une partie de l’œuvre méconnue d'Isidore Pagés, accompagné de plusieurs dessins exécutés à la plume et représentant les principaux monuments de la ville de Narbonne, a été confié au CIRDOC par Monsieur Gilbert Viviès de Marcorignan.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié, apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.