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Le centenaire d'Antoine Bigot : 28 février 1925 / E. Benoit-Germain
Cheilan, Paulin Pierre (1834-1907)
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Ostal de Maillane
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Demeure du couple Mistral de 1876, date de leur mariage, à 1943, année de décès de Mme Mistral, elle est devenue propriété de la commune, selon les voeux du poète exprimés en son testament de 1907, et abrite aujourd'hui le Musée Frédéric-Mistral.

Nom de l'édifice :

Maison de Maillane

Autres appellations :

Musée Frédéric-Mistral.

Localisation :

11, avenue Lamartine 13910 Maillane

Fonction d'origine de l'édifice :

Il s'agit de la demeure familiale construite par Frédéric Mistral au cours du second XIXe siècle. La maison du 11 avenue Lamartine hébergea Frédéric Mistral et sa jeune épouse, Marie Louise Aimée Rivière, aux lendemains de leurs noces en 1876. Le poète y résida jusqu'à son décès en 1914. Elle fut occupée par sa veuve jusqu'à sa disparition le 6 février 1943.

Fonction actuelle de l'édifice :

Cette demeure bourgeoise héberge aujourd'hui un musée dédié à l'œuvre et à la vie de Frédéric Mistral, le Musée Frédéric-Mistral. La maison du poète, tout comme son mobilier et sa bibliothèque, sont devenus propriété de la commune de Maillane par légation testamentaire de Frédéric Mistral du 7 septembre 1907, au lendemain de la mort de sa veuve.

Datation :

XIXe siècle

Importance pour la culture occitane :

Installée au cœur de Maillane, cette demeure fait face à la Maison du Lézard dans laquelle l'auteur occitan résida aux côtés de sa mère de 1855 à 1876. Frédéric Mistral fit construire en ce second XIXe siècle une demeure nouvelle de style bourgeois, agrémentée d'un jardin. Elle accueillit Mistral et son épouse et c'est en ces murs que fut composé le second pan de l'œuvre de l'auteur. C'est également au 11 avenue Lamartine qu'une grande part des proches et des invités du couple Mistral furent reçus. Parmi les plus connus figura le président de la République française, Raymond Poincaré.

Elements remarquables :

Sur près de 1000m2 de terrain, cette demeure de deux étages, se situe au sud du village, au 11 avenue Lamartine et fait face à la Maison du Lézard. Une statue du sculpeur Achard, inaugurée en 1929, trône dans le jardin. Au-dessus de la porte d'entrée placée de la façade nord (la maison compte deux entrées), est sculpté un buste de Mireille. Sur les clés des baies vitrées latérales, est gravée l'Etoile à sept branches félibréenne. La porte d'entrée de la façade sud présente deux ensembles de monogrammes, E et C pour Estérelle et Calendal, et V et M, en l'honneur des héros de Mirèio, Vincent et Mireille. Par ailleurs, le linteau comporte une composition allégorique ainsi que la devise du poète : "Lou soulèu me fai canta"/ Le soleil me fait chanter". Sont également représentés le pistolet de Calendal, l'Etoile des Baux, le trident des gardians, l'ancre marine. Les baies latérales, présentent pour deux d'entre elles, les têtes sculptées de Mireille et d'Esterelle. Une construction menée par l'entrepreneur Joseph Gros, d'après les plans de l'architecte F.Monnier (cf. Ch.Galtier, Le Musée Frédéric-Mistral).

Statut de protection :

Classement de la maison, du jardin des dépendances par l'arrêté du 10 novembre 1930. Classement des objes mobiliers par l'arrêté du 10 février 1931.

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Lo Mas del Jutge
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Le Mas du Juge, demeure familiale de la famille Mistral sur la route de Maillane à Saint-Rémy-de-Provence, vit naître et grandir tant Frédéric Mistral, le 8 septembre 1830, que son œuvre majeure, Mirèio.

Source: http://gallica.bnf.fr/

Nom de l'édifice :

Le Mas du Juge. Egalement connu sous les noms de Mas de Clément et Mas-Crema (de cremat : brûlé en occitan, un incendie ayant potentiellement ravagé le bâtiment, ou du fait de sa proximité avec le Clos-Cremat, comme indiqué dans les Mémoires et récits de Mistral). L'étymologie de cette appellation pourrait être à rechercher dans les anciens propriétaires du bâtiment, dont les avis divergent toutefois selon les sources. Ancienne viguerie du Procureur de Monaco (cf. Site internet des actuels propriétaires), cette demeure dâtée du XVIIIe siècle, est également attribuée à la dame Perriat, fille d'un juge de Saint-Rémy, achat lui-même réalisé auprès d'une "dame Baltrat épouse Tourel". (cf. Mistral ou l'empire du soleil, p.39).

Autres appellations :

 

Localisation :

Sur la route entre Maillane et Saint-Rémy-de-Provence.

Fonction d'origine de l'édifice :

Demeure de notables au XVIIIe siècle, elle devient ensuite le cœur d'une propriété agricole pour les "ménadiers" de la famille Mistral à compter du rachat de l'ensemble par Antoine Mistral en 1803, et jusqu'à la vente de celle-ci par Frédéric Mistral Neveu.

Fonction actuelle de l'édifice :

Propriété de particuliers depuis, la bâtisse accueille toutefois le public lors de visites commentées autour de la vie et de l'œuvre de Frédéric Mistral (découverte des lieux et documents à l'appui) ainsi que de nombreux événements culturels (concerts, spectacles, conférences). Découvrir le détail des propositions.  

Datation :

XVIIIe siècle

Importance pour la culture occitane :

Le Mas du Juge est historiquement lié à la figure de Frédéric Mistral,poète provençal, fondateur du Félibrige et du Museon Arlaten, prix Nobel de littérature en 1904. Entrée dans sa famille en 1803 lors de l'achat de cette bastide provençale par Antoine Mistral, elle fut par la suite léguée aux aînés de la famille et revint à ce titre en 1827 à François Mistral, père du poète occitan. Le mas du Juge accueille la naissance (1830) et les jeunes années de Frédéric Mistral. Sa licence de droit obtenue à Aix-en-Provence en 1851, le futur auteur des Isclo d'Or s'installe sur les terres familiales d'où il entame son entreprise de rénovation de la langue et de la culture occitanes : "Et là même, - à cette heure, j'avais mes vingt et un ans, - le pied sur le seuil du Mas paternel, les yeux vers les Alpilles, en moi et de moi-même, je pris la résolution : premièrement, de relever, de raviver en Provence le sentiment de race que je voyais s'annihiler sous l'éducation fausse et antinaturelle de toutes les écoles; secondement, de provoquer cette résurrection par la restauration de la langue naturelle et historique du pays, à laquelle les écoles font toutes une guerre à mort : troisièmement, de rendre la vogue au provençal par l'influx et la flamme de la divine poésie." (Memoires et récits, édition de 2008, Arles, Actes Sud, p.159). C'est entre ses murs qu'il entreprend d'ailleurs de rédiger la première de ses oeuvres majeures, Mirièio. Le 4 septembre 1855, le décès de François Mistral, et les litiges relatifs à la succession, conduisent Frédéric et sa mère, Délaïde, seconde épouse du patriarche, à quitter la propriété définitivement. L'épisode, douloureux pour le poète, est relaté dans ses Memòri e racontes : "une semaine après, au retour du service, le partage se fit.[...] Et au Mas paternel, qui n'était pas dans mon lot, il fallut dire adieu". (Ibid, p.247). Celle-ci revient alors, selon la tradition provençale, au fils aîné Louis Mistral, et après lui à son fils Théophile Mistral. A la mort de celui-ci, Frédéric Mistral, petit-neveu de l'illustre aïeul hérite du Mas du Juge, la vendant plus tard hors du cercle familial.

Eléments remarquables :

La propriété se composait du temps des Mistral d'un ensemble de 25 ha de terrain, ainsi que d'un corps de ferme. "La bastidasso ount nasguère, en fàci dis Aupiho, toucant lou Claus-Créma, se ié disié lou Mas dóu Juge : un tenemen de quatre couble, emé soun pastre, sa servènto [...]" / "La vieille bastide où je naquis, en face des Alpilles, touchant le Clos-Créma, avait nom le Mas du Juge, un tènement de quatre paires de bêtes de labour, avec son premier charretier, ses valets de charrue, son pâtre, sa servante [...]". (cf. Sur les pas de Frédéric Mistral p.11) De forme longitudinale, la demeure est entourée d'un vaste jardin. Prélude à l'arrivée au mas, une allée de platanes, et sur le côté du chemin, un muret aujourd'hui gravé d'un portrait de Frédéric Mistral. Sur l'un des murs latéraux du mas, figure également une plaque portant l'inscription suivante "Dins aqueste Mas dou Juge Frederi Mistral es nascu lou 8 de setèmbre 1830 i'a viscu sa bello jouinesso. Escri si proumièris obro e pièi "Mirèio" lou quittant, en setèmbre 1855, qu'après la mort de soun segne paire Francés Mistral, de qu'au a escri : "C'est lui qui m'a rendu poète". Lauso aubourado lou 18 de mai 1959, jour de la Santo-Estello à Maiano. Pèr li siven de soun rèire-nebout e fihou, prouprietàri dou mas Mireien." Dans ce Mas du Juge, Frédéric Mistral est né le 8 septembre 1830 et y a vécu sa belle jeunesse. Il y écrivit sa première oeuvre et puis "Mirèio", ne le quittant, en septembre 1855, qu'après la mort de son père François Mistral, du quel il a écrit : "C'est lui qui m'a rendu poète". Pierre érigée le 18 mars 1959, jour de la Saint-Estelle à Maillane, par son grand-neveu et fils, propriétaire du mas Mireien."

Statut de protection :

La maison elle-même n'a pas fait l'objet d'une procédure d'inscription ou de classement aux Monuments historiques. Le Jardin du mas toutefois, a fait l'objet d'une campagne d'inventaire en 1994.

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La maison du Lézard
CIRDÒC - Mediatèca occitana

La Maison du Lézard, référence au cadran solaire placé par Frédéric Mistral sur sa façade et qu'orne le reptile, accueillit le poète et sa mère au lendemain de la mort de François Mistral. De 1855 à 1876, Frédéric Mistral résida 11 avenue Lamartine, au coeur de Maillane. Il acheva en ces murs Mirèio, et y réalisa Calendau.

Nom de l'édifice :

Maison du Lézard

Autres appellations :

 

Localisation :

11, avenue Lamartine 13910 Maillane

Fonction d'origine de l'édifice :

Demeure de Frédéric Mistral après 1855, la maison fut cédée par la suite à Jeanne de Flandreysy. Cette dernière en fit la donation le 18 juillet 1957 à la commune de Maillane. L'acte de cession de la Maison du Lézard est aujoud'hui conservé dans les archives du Palais du Roure, en Avignon.

Fonction actuelle de l'édifice :

La maison du Lézard abrite désormais l'Office du Tourisme de la ville, la bibliothèque municipale ainsi que le centre de recherches mistraliennes.

Datation :

XVIIe siècle.

Importance pour la culture occitane :

Cette belle demeure de maître du XVIIe siècle, figure depuis 1930 au classement des Monuments historiques. Pan du patrimoine bâti de la commune de Maillane, cette maison est également étroitement liée à l'histoire personnelle du poète occitan Frédéric Mistral, ayant résidé en ces murs entre 1855, aux lendemains de la mort de son père, et jusqu'à son mariage en 1876.François Mistral décède en septembre 1855, débute alors le partage des biens de la famille. Frédéric, dernier des enfants, né des secondes noces du patriarche, est contraint de quitter le Mas du Juge aux côtés de sa mère. Ils rejoignent tous deux la demeure échue au benjamin, en plein cœur de Maillane, une maison de village sans jardin ni terrain.

Eléments remarquables :

Cette maison de village, demeure de maître datant du XVIIe siècle, présente sur l'une de ses façades, un cadran solaire, orné du lézard qui donna à la bâtisse son nom actuel. Symbole du temps qui passe et de la vogue de la gnomonique dans la Provence du XIXe siècle, l'Empèri dau Solelh des Félibres, le cadran apposé par Mistral en 1903, interpelle le passant de ces quelques mots en occitan : "Gai lesert béu toun soulèu, l'ouro passo que trop lèu e deman ploura belèu." "Gai lézard bois ton soleil, l'heure ne passe que trop vite et demain il pleuvra peut-être". Reconvertie depuis en Office du tourisme, la maison conserve trace de sa période mistralienne par la plaque commémorative apposée sur la façade "A la mémori unenco de Frederi Mistral e de sa maire tant amado Adelaido en remembranço dis an benesi ounte lou poueto coumplique Mirèio, oubrajè Calendau lis isclo d'or e lou tresor dou Felibrige. Festejant d'ilustris ami e plourant Lamartine après soun paire aquesto lauso aven dreissa, contro l'oustau que lis acaté touti dous de 1855 à 1876." Foundacioun Flandreysy-Espérandieu. 1957. À la mémoire unique de Frédéric Mistral et de sa mère tant aimée Adélaïde en mémoire des années bénies durant lesquelles le poète acheva Mirèio, rédigea Calendau, Lis Isclo d'Or et Lou Tresor dòu Felibrige. Fêtant d'illustres amis et pleurant Lamartine après son père, cette plaque avont érigée, contre la demeure qui les accueilli tous les deux de 1855 à 1876." Fondation Flandreysy-Espérandieu. 1957.

Statut de protection :

Classement au titre des Monuments historiques par l'arrêté du 31 juillet 1930. Identifiant : (PA00081317 – Monuments historiques )

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Chronique félibréenne / L. Xavier de Ricard
Louis-Xavier de Ricard (1843-1911)
Article certainement paru dans la Revue moderne, 1887
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Imatges del bestiari romanic dins l'espaci occitan
CIRDOC - Institut occitan de cultura

Ressources en ligne

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 L'art roman a produit un très riche bestiaire symbolique, composé d'animaux réels et d'animaux exotiques et fantastiques. Ce bestiaire est particulièrement représenté dans la sculpture des édifices religieux (portails, chapiteaux, corniches, etc.) et dans l'enluminure des manuscrits à contenu représentations symboliques incarnant souvent le combat entre le bien et le mal. De même les « bestiaires » littéraires sont destinés à l'instruction morale des chrétiens. Les animaux y ont des caractères et des mœurs comparables à ceux des hommes. 

Les animaux humanisés sont également présents dans le décor des fables et satires comme le très célèbre ensemble de récits des XIIe et XIIIe siècle regroupés sous le nom de Roman de Renart. À partir du XIIIe siècle, la redécouverte des œuvres d'Aristote produit une approche plus réaliste du monde animal, en particulier dans les encyclopédies. Les livres de chasse donnent également lieu à une importante iconographie relative au gibier et aux animaux sauvages.  


Généralités sur le bestiaire médiéval

 Exposition virtuelle

« Le bestiaire dans l'enluminure médiévale », exposition et dossier virtuel réalisés à partir de l'exposition de manuscrits à la Bibliothèque nationale de France (11 octobre 2005 au 8 janvier 2006). Exposition virtuelle (commissariat : Marie-Hélène Tesnière, conservateur en chef au département des Manuscrits). L'exposition virtuelle propose de nombreuses reproduction de manuscrits, pour la plupart issus des collections de la Bibliothèque nationale de France et de la Médiathèque d'agglomération de Troyes. Peu de manuscrits de provenance méridionale.
Parcourir l'exposition sur le site de la BnF

Répertoire

Liste des bestiaires littéraires du Moyen-Âge sur le site ARLIMA : à consulter en ligne.

Dossier

Tympan sculpté (lion) de Nanteuil-enVallée, Charente. &copy Musées de Poitiers

« Les mystères du bestiaire roman » : un petit dossier sur le bestiaire sculpté dans les édifices religieux de Poitou-Charentes réalisé par le service des musées de Poitiers.



 Thèse 

Juliette GUIGON, Le bestiaire de la sculpture romane : Thèse de doctorat : Médecine vétérinaire : École vétérinaire de Maisons-Alfort : 2004 

Consulter la thèse en ligne

Les bestiaires en occitan

« De las propriotas de las animanças»

XVe siècle, traduction occitane du Physiologus latin (bestiaire chrétien composé en grec à la fin du IIe siècle).
Elle est connue par deux copies :
Cambridge, University Library, Dd XV 29, 2/2 XV (C)
Dublin, Trinity College Library, 261, déb. XVI (D)

 Voir la fiche en ligne sur le répertoire informatisé d'ARLIMA

« Aiso son las naturas d'alcus auzels e d'alcunas bestias. »

2e moitié du XIIIe siècle. Imitation en prose occitane du Bestiaire d'amour de Richard de Fournival (en français, vers 1250). Auteur anonyme, connu par une copie sans doute incomplète présente dans l'un des plus importants chansonniers occitans, le chansonnier dit La Vallière (Bnf, ms français 22543, f. 140 r et v).

Consulter la fiche sur le répertoire ARLIMA 

Consulter le Chansonnier provençal (Chansonnier La Vallière) en ligne sur Gallica

 Chansonnier provençal (Chansonnier La Vallière)
Source: gallica.bnf.fr

 « Breviari d'amor », Matfre Ermengaud (Languedoc, vers 1288)

Le Breviari d'amor est une encyclopédie en occitan dont la plupart des copies sont richement enluminées. Il contient de nombreuses représentations d'animaux réels et fantastiques.

Breviari d'amor, copie N (Bibliothèque nationale de Russie : Ms. Prov. F. V. XIV.1)

Le ms N, sans doute réalisé à Lérida à la fin du XIIIe siècle, est l'un des plus richement enluminés.


Breviari d'amor, copie A (Bibliothèque nationale de France, ms. fr. 857)

Matfré Ermengau , Breviari d'amor et Lettre à sa soeur ; Chansonnier occitan , dit [ chansonnier α ] sur le site de Gallica Source : gallica.bnf.fr


Breviari d'amor, copie B ( Bibliothèque nationale de France, ms. fr. 9219)

Breviari d'amor , Matfré Ermengau Source : gallica.bnf.fr


Breviari d'amor, copie C ( Bibliothèque nationale de France, ms. fr. 858)

Matfre Ermengau , Breviari d'amor ; Matfre Ermengau , Lettre à sa soeur ; traduction du Salve regina ; traduction de la Légende du bois de la Croix Source : gallica.bnf.fr
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Antoine Bigot : sa vie, ses œuvres /par Léon Méjan
Méjan, Léon (18..-19..)
Bigot, Antoine (1825-1897)

Biographie sur le poète nimois Antoine Bigot. La couverture porte la date de 1904.

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La Rampelado / de Louis Roumieux
Roumieux, Louis (1829-1894)
Recueil de poèmes, fables, contes, nouvelles et pièces de théâtre de Louis Roumieux.
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Lou bouquet nouviau d'Alfred e d'Anais / pèr Louis Roumieux
Roumieux, Louis (1829-1894). Éditeur scientifique
Recueil de poèmes de divers auteurs réunis en l'honneur des noces d'Anaïs Roumieux, la fille de Louis Roumieux
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Lo Compendion de l'abaco
Pellos, Francés (14..-....)
Ce ne sont pas les universitaires mais les milieux marchands qui produisent à partir du XIIIe siècle ces nouveaux « algorismes » ou livres d’« abaco », dont le but est d'apporter les rudiments mathématiques nécessaires au bon exercice du négoce. C'est pourquoi ces traités sont rédigés dans les langues d'usage des marchands, occitan, italien, français, etc. et non en latin. 
Le Compendion de l'Abaco, qui figure parmi les premiers livres de mathématiques imprimés en Europe, témoigne de la place qu'occupe la langue occitane dans les échanges commerciaux à l'aube de la Renaissance.

Description de l'exemplaire de Nîmes
Incunable in 4°, 82 feuillets. Incomplet des ff. 51-54. - Texte en dialecte niçois, 41 lignes ; car. goth. 2 grandeurs ; lettres d'attente ; figures géométriques et 2 gr.s.b. (f. 79). Notes ms sur 2 ff. bl. rajoutés avant le titre. 

Pour en savoir + à propos du Compendion de l'abaco : cliquez sur ce lien
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