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Almanach chantant de l'Auvergne
Publié pour la première fois en 1854 sous le titre Almanach chantant de l'Auvergne, le titre évolue au fil du temps. Il devient Almanach chantant de l'Auvergne et de l'Allier puis Almanach chantant de l'Auvergne du Bourbonnais et du Velay.
A partir de 1920 le félibrige se structure en Auvergne avec la création de l'Escolo de Limagno (Clermont-Ferrand) et de l'Escolo oubernhato (Aurillac). En 1923 l'almanach devient Almanach chantant de l'Auvergne e Armana felibren.
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Ormonac rouërgàs
Constans, Léopold (1845-1916). Directeur de publication
L'Omanac rouërgàs est fondé en 1907 par le millavois Léopold Constans (1845-1916), Professeur à l'Université d'Aix-en-Provence, romaniste éminent et Majoral du Félibrige. Sa création joue un rôle fédérateur et précède la fondation, en septembre 1907, toujours par Léopold Constans, de l'Ecole félibréenne Claude Peyrot.
L'Ormonac sera l'œuvre commune et l'organe d'expression des écrivains aveyronnais de langue d'oc jusqu'en 1917.

Après quelques années d'interruption l'Armanac rouergas prolongera l'œuvre de l'Ormonac sous la direction du Grelh roergàs.
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Armanac de la Gascougno
Sarran, Fernand (1876-1928)
Médan, Léopold (1883-1960)
L'Almanac de la Gascougno est publié pour la première fois en 1898 sous la direction de l'abbé Fernand Sarran (1876-1928) qui signe ses textes du pseudonyme Lou Cascarot en référence au Cascarelet, pseudonyme de Joseph Roumanille dans l'Armana prouvençau.
A partir de 1904 le titre devient Armanac de la Gascougno. En 1923 un sous-titre précise : Armagnac, Biarn, Bigorro, Lanos.
Les textes publiés sont principalement issus du folklore et de la tradition orale locale.
En 1929, après le décès de l'abbé Sarran, c'est Léopold Médan qui prend la direction de l'almanach, sous le pseudonyme Lou Campanè, il sera publié jusqu'en 1959.
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Armana dóu Ventour
Charrasse, Louis (1868-1927). Directeur de publication
Vidau, Léopold (1862-1926). Directeur de publication
L'Armana dóu Ventour es estat fondat en 1899 pel felibre Louis Charrasse que n'a assegurat la direccion fins en 1907, data a la quala Léopold Vidau li a succedit al cap de la publicacion.

A comptar de 1909 ven L'Armana dóu Ventour e dis Aupiho, pareisserà fins en 1914.
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Armanac patouès dé la Bigorro, annado 1893
Camelat, Miquèu (1871-1962)
Publié à la fin de l'année 1892, l'Armanac patouès de la Bigorro annado 1893 a vu le jour grâce à la rencontre de   Miquèu Camelat et Simin Palay.
En 1894 l'Armanac Gascou - Bigorre - Béarn - Armagnac - Lanes lui succèdera. Ces deux publications seront le point de départ de la création en 1896 de l'Escole Gastou Fébus puis de la revue Reclams de Biarn et Gascougne en 1897.
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Armanac nissart
Eynaudi, Jules (1871-1948). Directeur de publication
Rolland, Victor (1868-1943). Directeur de publication
Cappatti, Louis (1886-1966). Directeur de publication
Isnard, Pierre (1881-1970). Directeur de publication
L'histoire de l'Armanac niçart est assez chaotique et sa publication très irrégulière.

Il paraît pour la première fois en 1903 sous la direction de Jules Eynaudi (1871-1948) et Victor Rolland (1868-1943). L'éditorial du premier numéro indique que son but est de divertir les lecteurs et de fournir des renseignements utiles : données pratiques, calendrier, liste des fêtes mobiles et phénomènes astronomiques de l'année. En 1905 et 1906 l'Armanac de paraît pas.
Quand il reparaît en 1907 il affirme ses objectifs littéraires et linguistiques et fait référence au Félibrige, il exalte le patriotisme nissart et devient une imitation niçoise de l'Armana prouvençau.
Il cesse à nouveau de paraître de 1915 à 1919 du fait de la guerre, puis reprend jusqu'en 1922.

En 1928 il reparaît sous un titre légèrement modifié,  Armanac nissart, dirigé par Louis Cappatti (1886-1966) et Pierre Isnard (1881-1970). A partir de cette date la publication défend l'originalité et le particularisme du Comté de Nice, loin de l'esprit félibréen de Jules Eynaudi. Les nouveaux directeurs sont hostiles à la Provence et s'intéressent plutôt aux régions liguriennes. En 1932 la revue abandonne la graphie félibréenne au profit du système graphique dit "rationnel" (mi-étymologique, mi-ligurien) mis au point par Eugène Ghis et Pierre Isnard.
L'Armanac paraîtra de façon régulière jusqu'en 1942. Un numéro paraît en 1947 et un dernier en 1960 pour le centenaire du rattachement du Comté de Nice à la France.
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La Cigalo lengadouciano
Vabre, Léopold (1864-1936). Directeur de publication
La Cigalo lengadouciano a été publiée à Béziers de 1907 à 1933, soit 216 numéros, par l'école felibréenne du même nom, créée en 1906.
Autour de Léopold Vabre, le directeur de la publication, et de Pierre Joseph Bédard, le rédacteur en chef, on retrouve notamment Paul Cassan, Albert Arnaud, Emile Barthe, Paul Albarel, Jean-Marie Vinas ainsi que le peintre et dessinateur Gaston Cugnenc, illustrateur de la couverture de La Cigalo.
La revue paraît tous les mois de façon régulière avec toutefois une interruption pendant la période de la guerre (de septembre 1914 à avril 1919). Son contenu est essentiellement littéraire.
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Trencavel
Clardeluno (1898-1972)
Domergue, Auguste (1896-1970)
Cordes, Léon (1913-1987)
Beaumadier, Léonce (1893-1980)
Après l'Escolo del Titan, créée en 1897, puis la Cigalo lengadouciano, fondée en 1906 et disparue en 1933, une nouvelle école félibréenne voit le jour dans le Biterrois en 1936, l'Escolo Trencavel.
Elle se dote, dès 1937, d'une publication périodique en langue occitane, la revue Trencavel. La poétesse Clardeluno (Jeanne Barthés) en sera la rédactrice en chef jusqu'en 1944 aux côtés d'Auguste Domergue, Léon Cordes et Léonce Beaumadier.

La revue a pour but d'assurer la transmission des pratiques populaires de la société traditionnelle du Bas-Languedoc. Elle publie contes, légendes, poésies, pièces de théâtre, proverbes, chansons populaires ainsi que de nombreux articles sur le costume et les danses traditionnelles.
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La Cigalo d'or (Montpellier)
Blavet, Alcide (1868-1934)
Arnavielle, Albert (1844-1927)
Roumieux, 1829-1894)
La Cigalo d'or (Montpellier) est la suite des journaux Dominique et La Cigalo d'or (Nîmes).
Alcide Blavet et Albert Arnavielle avec le concours de Louis Roumieux remontent La Cigalo d'or en avril 1889. Elle devient alors l'organe officiel des Maintenances de Languedoc et d'Aquitaine et est publiée à Montpellier. C'est dans la Cigalo d'or que Li Fiho d'Avignoun de Théodore Aubanel parait pour la première fois. De nombreux félibres de renom y collaborèrent. Il contient de la poésie, des contes, pièces de théâtre, des proverbes, des billets d'humour, des chansons, des fables, etc. Des débats émaillent certains numéros entre les partisans de la terminaison provençale en « o » et les partisans de la terminaison languedocienne en « a ». Les principaux contributeurs sont : Louis Roumieux, Albert Arnavielle, Alcide Blavet, Antonin Glaize, Théodore Aubanel.

Consultez les numéros numérisés disponible sur le site La Plateforme Patrimoine culturel en ligne en cliquant sur ce lien.


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La Cigalo d'or (Nîmes)
Roumieux, Louis (1829-1894)
Ce journal est la suite du journal Dominique journal hebdomadaire publié à Nîmes en 1876, Louis Roumieux (1829-1894) en est le rédacteur en chef. La publication, suspendue pendant plusieurs mois en raison de démêlés avec la censure, reprend en avril 1877 sous le nom : La Cigalo d'or. Le journal disparaît en septembre 1877, au bout de 52 numéros, pour des raisons financières. Alcide Blavet et Albert Arnavielle avec le concours de Louis Roumieux remontent La Cigalo d'or en avril 1889. Elle devient alors l'organe officiel des Maintenances de Languedoc et d'Aquitaine et est publiée à Montpellier. C'est dans la Cigalo d'or que Li Fiho d'Avignoun de Théodore Aubanel parait pour la première fois. De nombreux félibres de renom y collaborèrent. Il contient de la poésie, des contes, pièces de théâtre, des proverbes, des billets d'humour, des chansons, des fables, etc. Des débats émaillent certains numéros entre les partisans de la terminaison provençale en « o » et les partisans de la terminaison languedocienne en « a ». Les principaux contributeurs sont : Louis Roumieux, Albert Arnavielle, Alcide Blavet, Antonin Glaize, Théodore Aubanel.

Consultez les numéros numérisés sur La Plateforme Patrimoine culturel en ligne en cliquant sur ce lien.

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