Explorer les documents (2 total)

james-thomas.JPG
La première réception anglophone de Mistral, 1859-1878 / James Thomas
Thomas, James. Conférencier
Centre Interrégional de Développement de l'Occitan. Producteur
Altaïr-Prod. Metteur en scène ou réalisateur
Cette conférence a été filmée le 21 novembre 2014 dans le cadre du colloque "Lire Mistral en 2014" organisé à Béziers par les universités de Bordeaux-III, Pau et Pays de l'Adour, Nice-phofia-Antipolis, Montpellier-III, Toulouse-II et le CIRDÒC.

Cette communication se concentre sur les premiers vingt ans de la réception anglophone de Frédéric Mistral (1830-1914), autant aux États-Unis qu’en Angleterre et Irlande. La période 1859-1878 voit circuler au moins trois traductions anglaises de Mirèio, plusieurs articles critiques dans les presses des deux côtés de l’Atlantique, des traductions d’extraits de Calendau et le commencement de la grande curiosité montrée pour Mistral par des écrivains littéraires de langue anglaise (tel George Meredith) qui va atteindre un sommet pendant le modernisme du XXe siècle (Richard Aldington, Roy Campbell, Ford Madox Ford). Bien que l’on a parlé d’une traduction immédiate de Mirèio faite par Suzanne Asselin à Avignon en 1859, la figure la plus importante de cette époque est sans doute William Charles Bonaparte-Wyse (1826-1892), petit-fils anglo-irlandais de Lucien Bonaparte qui ‘découvre’ Mistral en 1859 et s’inscrit au Félibrige. En examinant cette personnalité clé pour les rapports entre l’occitan, le catalan et l’anglais, on pourra discerner mieux s’il y avait une réception anglophone directe de l’oeuvre de Mistral ainsi que par les moyens habituels de la critique parisienne (Revue britannique etc).

y-yasttrebova.JPG
L'Œuvre de Frédéric Mistral : critique et traduction en Russie / Youlia Iasttrebova
Altaïr-Prod. Metteur en scène ou réalisateur
Centre Interrégional de Développement de l'Occitan. Producteur
Cette conférence a été filmée le 21 novembre 2014 dans le cadre du colloque "Lire Mistral en 2014" organisé à Béziers par les universités de Bordeaux-III, Pau et Pays de l'Adour, Nice-Sofia-Antipolis, Montpellier-III, Toulouse-II et le CIRDÒC.