Explorer les documents (6976 total)

vignette_pastoralavolurs.jpg
CIRDOC - Institut occitan de cultura

PRÉSENTATION 


La Rampe-TIO interprète le texte cruel mais poétique de Max Rouquette revisitant le genre traditionnel de la pastorale.

Un soir de Noël, un riche paysan et sa femme se lamentent sur la malhonnêteté des pauvres. Deux mendiants frappent à la porte et parviennent à persuader l’épouse qu’ils sont saint Pancrace et saint Gabriel en mission sur terre. Accueillis comme il se doit, les deux prétendus saints confient à leurs hôtes un grand secret : un trésor est caché sous la terre à une lieue du mas.

Le spectacle, en cours de création, sera présenté au public au sortir d’une semaine de travail.

INFORMATIONS PRATIQUES 

CIRDÒC - Institut occitan de cultura : Béziers, 1 Boulevard Duguesclin

Entrée gratuite sur inscription : 

secretariat@oc-cultura.eu / 04.67.11.85.13. 

vignette_literari_pinsaguel.jpg
Médiathèque Salou Casaïs de Pinsaguel
CIRDOC - Institut occitan de cultura
Occitanie Livre et Lecture
Librairie de la Renaissance

PRÉSENTATION 



Carte blanche à l'autrice Cecila Chapduelh pour ce second café littéraire à Pinsaguel. Lectures, échanges, atelier pratique, seront au programme de ce rendez-vous familial.

Pour cette seconde année, le café littéraire « Total Festum literari » proposé par le CIRDOC et la médiathèque Salou Casaïs de Pinsaguel, donne carte blanche à l’autrice Cecila Chapduelh autour de son recueil « Mina de plomb, Mina de ren - Mine de plomb, mine de rien  ».
L’ouvrage, paru en 2023 aux éditions Jorn, donne à entendre le chant d’une femme libre. Un rdv entre échanges, lectures mais aussi pratiques, puisque l’artiste vous propose de vous essayer à votre tour au dessin à la mine de plomb.


INFORMATIONS PRATIQUES 

Médiathèque Salou Casaïs - 1 rue du Ruisseau, 31120 Pinsaguel

Entrée gratuite sur inscription : 

 mediatheque@mairie-pinsaguel.com /  05.61.76.88.68.

vignette_60807.jpg
Casanova, Jean-Yves
Malgré des tentatives anciennes et récentes, notamment celles de Marcel Carrières, Charles Camproux, Philippe Gardy et Emmanuel Desiles, l’histoire des premiers romans écrits en langue d’oc, du moins en prose, n’a pas été vraiment analysée dans sa globalité, son étendue géographique et sa chronologie. Ce présent volume tente de remédier à ce manque en mettant en perspective les différents romans en langue d’oc parus de 1840 à 1930. La première date correspond à l’apparition du genre en ce XIXe siècle, textes imprimés en volume, en diverses livraisons, sous forme de roman-feuilleton, ou même restés manuscrits ; cette date d’ouverture se réfère à celui de Garcin, La Roubinsouno prouvençalo, premier opus du genre. La date limite est celle des années qui suivirent la parution de La Bèstio dóu Vacarés de Joseph d’Arbaud, tentative exemplaire de constitution d’une langue romanesque remarquable. La présente étude comporte un corpus de plus d’une cinquantaine de romans, certains connus, d’autres peu étudiés, d’autres encore inconnus, restés manuscrits ou publiés dans des périodiques peu accessibles, comme Estève de Valèri Bernard ou les romans toulousains parus dans Lé Gril. Ce travail se concentre donc sur cette mise en perspective chronologique, tout en donnant de ces romans un large aperçu analytique et sociologique afin qu’ils puissent être replacés dans un mouvement plus large. Enfin, ce travail pose une série de questions sur la définition du genre, sa socialisation, sa permanence ou son absence dans l’histoire de la littérature d’oc, le lectorat qui y est afférent, puis tente une comparaison avec des situations semblables, celles de l’émergence des romans catalans, corses et bretons.
vignette_60806.jpg
Marsal, Édouard
Édouard Marsal (Montpellier, 1845-1929) est connu comme peintre et illustrateur, mais aussi comme félibre, défenseur convaincu de la langue d'oc. Son ouvrage Dans les rues du Clapas, publié en 1896, rassemble cinquante portraits en mots et en images du petit peuple montpelliérain : marchands et marchandes des rues (de vin, de vinaigre, de salade sauvage, d'escargots, de lait d'ânesse, chèvre ou vache, de mercerie, de tripes, de journaux, de beignets, de bonbons.), rémouleur, récureuse, cardeur, bouilleur de cru, décrotteur de chaussures, mais aussi marginaux à la fois comiques et tragiques (simples d'esprits, vagabonds, ivrognes). Un Montpellier populaire et disparu, le Clapas d'autrefois, s'anime sous nos yeux de tous ces gagne-petit, de ces gens de peu qui sont l'âme même de la ville et que Marsal fait parler, avec tous leurs cris de métier, dans la seule langue qu'ils connaissent, l'occitan. À chacune des 50 gravures répond une photo actuelle du site où figure le personnage, prise exactement dans la perspective du dessin et permettant ainsi de mesurer la permanence et les mutations de Montpellier. Une carte des divers endroits dessinés invite à visiter la ville d'une autre façon, sur les pas d'Édouard Marsal, un guide plein d'humour et de tendresse pour ces vies minuscules. Œuvre artistique et littéraire en même temps que document irremplaçable.

Transcription en graphie classique, traduction et photographies de Pascal Wagner.
vignette_60805.jpg
Lesfargues, Bernard
La poésie occitane est, à l’heure actuelle, la plus ancienne des poésies vivantes. Celle de Bernard Lesfargues, dont nous commémorons cette année le centenaire de la naissance, est reconnue riche, vivante, contemporaine, de haute qualité. En rendant compte de tout ce qui est humain, elle nous réconforte. Nous lui avons souvent entendu dire que son rapport à sa langue d’écriture était bien différent suivant qu’il s’agissait de l’occitan ou du français. Pour lui, l’occitan était naturel, intime, viscéral, il venait du plus profond de son être. Pour ce florilège, il a opté pour un mélange de poèmes anciens et récents. Nous trouvons dans cet ouvrage un résumé parfait des principaux thèmes chers à Bernard.

Pour le CD, en associant, pour la partie française, son épouse Michèle et leur amie Béatrice Becquet – toutes deux à la diction parfaite –, il était sûr de sa réussite. Et que dire de l’intense émotion qui émane, en entendant la voix de Monique Burg, associée à celle de Bernard, dire des textes, qui, nous le savons, lui étaient très chers. La présence de Maurice Moncozet, spécialiste de musique médiévale, complète le lien explicite entre l’oeuvre du poète du XXe siècle et celle des Troubadours, dont il était un fervent admirateur.

« Poèmas, Poèmes », un livre + CD de 42 textes en occitan et en français, avec un bonus « Can vei la lauzeta mover... » de Bernard de Ventadour, retrouvé par Maurice Moncozet.
vignette_60804.jpg
Roanet, Maria
Voici le voyage extraordinaire d’un très vieux capitaine, lo Capitani Campani. Figurez-vous qu’il est âgé de plus de 400 ans ! Après avoir bourlingué sur toutes les mers et sur tous les océans, il touche terre et se retire dans son monde et dans celui de ses rêves. Un très beau texte de Marie Rouanet, un conte onirique qui plaira aux enfants comme aux adultes.

Dessins de Cl. Foenet.
vignette_60800.jpg
Fraj, Eric
Lafont Robert
Éric Fraj chante Robert Lafont

Livre-CD

vignette_60799.jpg
Hurtado Ròs, Sandra
Zuchetto, Gérard
Poèmes en occitan et en castillan, avec traduction en français.

In memoriam Max Rouquette

Livre-CD

AN_Libre.jpg
Loi Deixonne : les régionalismes entrent à Paris
Florian Bart

On attendait de la poussière et on découvre de la vie. Quel étonnement, pour un académicien ! Cette affaire touche à quelque chose que Paris ignore - et ce qu’il ignore, comme chacun sait, n’existe pas.” (extrait de l’une des deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


A la Libération, la question des langues régionales et de leur enseignement n'est pas prioritaire, voire jugée suspecte. Beaucoup de mouvements régionalistes, notamment en Bretagne et en Alsace, sont inquiétés pour leur connivence avec les forces d’occupation. Malgré tout, les régionalismes entrent dans une nouvelle ère et vont être saisis par le débat parlementaire à l'occasion de la loi Deixonne. Voici l’histoire d’une bataille politique de haute intensité, retracée à partir des archives d’une institution alors balbutiante, l’Institut d’Estudis Occitans (IEO), fondée en 1945.


En 1947, les trois principaux partis politiques sont dans l’ordre le PCF, le MRP (Mouvement Républicain Populaire, un parti centriste d’inspiration démocrate-chrétienne, ndlr) puis la SFIO. Parmi les deux premières organisations de l’Assemblée Nationale (PCF et MRP) se manifestent des sensibilités favorables à l'enseignement des langues régionales. Le 16 mai 1947, le député communiste Pierre Hervé dépose une résolution en faveur de l’enseignement du breton. Plusieurs députés PCF et MRP de Bretagne prennent la défense du texte. 


Entre ces deux poids lourds de l’Assemblée nationale, la SFIO oscille et son électorat s’étiole. La guerre des partis fait rage. Les socialistes ont essuyé des revers électoraux depuis la Libération et subissent l’ascension des communistes. Leur appui au texte obéit à d’autres motivations qu’une adhésion sincère à l’enseignement des langues régionales. Ainsi, le député socialiste Maurice Deixonne s’insurge initialement contre ce texte de “Messieurs les apparatchiks et les curés (le PCF et le MRP, NDLR)”, fait pour “attaquer l'œuvre de Jules Ferry”. Sa réputation de parlementaire besogneux prêt aux tâches les moins gratifiantes le désigne, d’après l’historien Philippe Martel. Au sein de la commission parlementaire sur l’éducation, les trois principaux partis présentent chacun un rapporteur issu de ses rangs. La SFIO propose Maurice Deixonne et l’emporte grâce au désistement de la MRP Marie-Madeleine Dienesch. 


Cette proposition de loi pour l'enseignement des langues et dialectes locaux embrase l’Assemblée, au sein d'institutions républicaines marquées par des tendances centralisatrices, devenue hautement inflammable sur les questions d’unité nationale après l’Occupation allemande et la Résistance. Proposer l’enseignement des langues germaniques de l’Est quand le souvenir de leurs annexions allemandes est dans tous les esprits suscite de fortes réticences. La langue corse, considérée comme un “dialecte allogène proche de l’italien”, est écartée. Elle n’est intégrée à la Loi Deixonne qu’en 1974.


Des éditorialistes de tous bords commentent contre l’initiative parlementaire, perçue comme une double attaque portée contre la langue française et l’unité du pays. Les médias parisiens consacrent alors de larges espaces à la question des langues régionales, et les querelles d’initiés, comme celles de la graphie ou des particularismes dialectaux, font une brève irruption dans les articles de presse, le plus souvent pour jeter le discrédit sur ces passions régionales. 


Qu’il est beau de voir un homme tel que vous découvrir tout à coup un problème humain qu’il ignorait” (extrait de l’une des deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


Habituellement ignorés, les porteurs de revendications linguistiques locales essuient alors une salve d’insultes et de railleries dans le consensus de l’Après-guerre. Les régionalistes montent au créneau. L’I.E.O se joint dans la bataille avec son allié breton d’Ar Falz, pour voler au secours de cette proposition de loi, qui sera finalement adoptée en janvier 1951. Officiellement abrogée en 2000 pour être intégrée au Code de l'Éducation, ses dispositions continuent d’offrir la possibilité d’une scolarité bilingue.


Le Monde, L'Époque, Le Figaro… Parmi tous les articles défavorables au texte, ceux du titre conservateur se démarquent. Ils sont de la main de Georges Duhamel, engagé volontaire dans la Grande Guerre et courageux sous l’Occupation. Il s’impose parmi les plumes les plus notables du camp centralisateur. Ancien président de l’Alliance Française et académicien, sa France ne compte qu’une seule langue. Son titre tranchant rappelle les déchirures de l’Histoire récente : “Un attentat contre l’unité française”. Les chroniques se succèdent sans qu’aucune n’omette de ramener les revendications linguistiques locales à l’Occupation allemande. Outre le maintien de l’unité nationale, l’enseignement simultané de plusieurs langues compromet la bonne assimilation d’une seule, redoute-t-il.


“(...) Beaucoup d’instituteurs semblent perplexes. Ils se plaignent de disposer de peu de temps pour satisfaire aux exigences d’un programme chaque jour plus lourd. Est-il sage de prendre sur les heures données à la langue française ? Certains voyageurs, qui ont observé au dehors, les résultats du bilinguisme dans les écoles du premier degré, reconnaissent que les jeunes sujets ne parlent correctement ni l’une ni l’autre des deux langues apprises.” Bilan d’une controverse, Georges Duhamel, Le Figaro, 19 mai 1950.


Tous les journaux revendiquant l’héritage de la Résistance n’y sont pas hostiles, loin s’en faut. Le journal Combat, né clandestinement pendant la Seconde Guerre mondiale, accueille la réaction de Charles Plisnier, président de l’Union fédéraliste des Régions européennes et favorable au texte. Pour le défendre, il rappelle que sa portée est très restreinte, qu’il ne s’agit que d’autoriser l’enseignement facultatif des langues dialectales


Voir l'article de Charles Plisnier plus bas


Car nous n’acceptons pas en tout état de cause que, responsable d’un échec éventuel de revendications que nous tenons, parce que nous les connaissons mieux que vous, pour légitimes, nécessaires et inoffensives, vous ne nous apportiez en échange autre chose que l’écoeurant ragoût de belles paroles sur la diversité française, le charme du folklore, l’intérêt des traditions, et l’enchantement que procure à un académicien en tournée de conférences la vue d’un cortège en costume provincial avec biniou et cornemuse. Nous vous en prévenons : vous ne nous aurez pas à la tartine de confitures. Les hommes qui vous parlent n’ont pas besoin de régents qui pensent pour eux.” (extrait de l’une des lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


Les réactions du milieu occitan ciblent la chronique de Georges Duhamel, dont le titre ne passe pas. Max Rouquette, l’écrivain le plus notable de langue occitane dans la seconde moitié du XXe siècle, qui sera plusieurs fois pressenti pour le Prix Nobel, adresse une première réponse pleine de déférence. Mais Georges Duhamel ne cède rien de sa rhétorique unitaire et persiste dans de nouvelles chroniques. Max Rouquette devient cinglant.


Voir les deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel plus bas

L’idée d’une opposition entre l’opinion parisienne et celle des territoires n’est pas toujours fondée. Dans un article intitulé La leçon de patois, la Dépêche du Midi n’est tendre envers les “patois” que pour mieux vilipender l’initiative. Le quotidien est proche des radicaux, dont le parti est intimement associé à la construction de la République. L’article affirme l’hostilité générale des campagnes languedociennes à la proposition de loi. Jusqu’à inverser le rapport établi par Max Rouquette : ici, c’est Paris qui délire en français en faveur du “patois”, et les locuteurs indifférents des langues de France qui s’exaspèrent dans leur dialecte des errances de Paris. De chaque côté de la ligne d’affrontement, la légitimité revient aux campagnes.


Il vaut mieux que nos parlementaires n’entendent pas comment leurs paysans électeurs jugent leur nouvelle lubie… en patois” (La leçon de patois, Emile Debard, Ma Dépêche du Midi, 7 avril 1950)


Pourtant, le même journal accueille la diatribe d’un majoral du félibrige, Raymond Lizop, au titre explicite : “Pour en finir avec M. Duhamel”. Dès les premières lignes, le chroniqueur du Figaro est érigé en Simon de Montfort d’une “croisade ridicule”. Sud-Ouest et Le Villefranchois libéré donnent, quant à eux, un accueil très favorable à l’initiative parlementaire.


Voir l'article "Pour en finir avec Mr Duhamel" plus bas


Les géants du premier XXe siècle n’en sont pas en reste. Une tribune datant d’août 1911 écrite par la grande figure -languedocienne- du socialisme, Jean Jaurès, est exhumée par La Dépêche de Toulouse. Le tribun y évoque une ouverture vers la civilisation latine, sans énoncer le moindre projet politique.


Voir la tribune de Jean Jaurès plus bas


De l’autre côté du Rhône et du clivage gauche-droite, le provençal Charles Maurras, théoricien nationaliste et royaliste passé par le Félibrige, s’indigne des réactions outrées que provoquent de si maigres ambitions depuis sa cellule de la prison de Clairvaux. Néanmoins, il prend ses distances avec la revendication occitaniste naissante. Faut-il l’imputer à son provençalisme -le vieil antagonisme entre les deux côtés du Rhône est bien présent dans sa lettre-, à un décalage générationnel, ou à son nationalisme fédéraliste ?


Comme vous dites, cette loi ne casse rien. Mais elle “permet” ! C’était donc défendu ? Les plus radicaux du félibrige n’osaient plus le soutenir. Eh ! bien, voilà l’aveu à l’Officiel. Mais quel mauvais vocabulaire ! Occitan ! Toujours le Sud-Ouest oratoire, intriguant et politicien. Le seul Occitan valable est dans Chateaubriand : la jeune occitanienne, future Mme de Castelbajac. Il aurait fallu dire : Provence, vous avez bien raison ! Mais les M.R.P ne savent pas avoir raison.” (Lettre de Charles Maurras à Xavier Vallat, 30 janvier 1951)


Le moment de la Loi Deixonne consacre également la transformation de la revendication régionaliste en terre occitane. Une passation s’opère en passant de la IIIe à la IVe République, du Félibrige, dépositaire depuis Frédéric Mistral du combat culturel des pays d’Oc, à l’IEO, porteur d’un occitanisme politique clairement énoncé. Ainsi, les revendications régionalistes passent “au camp des novateurs”, comme le relève Elise Joucla.


Voir l'article d'Elise Joucla

vignette_salinelles_2024.jpg
Association L' Aucèu Libre
Comité des fêtes de Salinelles
CIRDOC - Institut occitan de cultura
Occitanie Livre et Lecture
Les Rencontres de Salinelles 2024 se dérouleront du 24 au 26 mai (afin de profiter du climat printanier) dans le petit village de Salinelles, proche de Sommières (Gard).
Accueilli par la commune dans l’orangerie et le parc du château, cet événement est un moment d’échange et de découverte autour de la littérature en langue d’Oc, dans une perspective ouverte et vivante, faisant le lien entre les grands textes de la tradition littéraire d’Oc.  

PROGRAMME DES VENDREDI 24, SAMEDI 25 et DIMANCHE 26 MAI 2024

VENDREDI 24/05/2024 chap. St Julien :

« Serada medievala » - 20h00

>  Charrada amb Yves Leclair (traductor e poèta) : autour de la nouvelle traduction des œuvres de Cercamon (Collection Federop, Ed.Pierre Mainard).

> Lecturas d'un poèma de Cercamon : texte original, adaptation en occitan contemporain et traduction française.

> Espectacle musical amb lo duo La Beluga, Céline Mistral e Fred Montels.

SAMEDI 25/05/2024  

Matinée, chap. St Julien : « Prosa D'uei : lo teatre occitan » - Lavoir de Salinelles

- 10h00 - Intervencion (conferéncia e discussion) - - Le Théâtre de Béziers (XVIIes.) : Jean-François Courouau (Un. Toulouse Jean-Jaurès) et Bénédicte Louvat (Un. Paris-Sorbonne).

« Batèsta » teatrala : opposant lecteurs et comédiens des différents horizons de l'espace occitan : Jean-François Courouau, Bénédicte Louvat, Véronique Fiol, Jean-Louis Blénet, Hélène Couedellot, Denise Daniel.

- 12h30  Pause déjeuner. Food Trucks

Mòstra e actualitat del libre d'òc

- 14h00 : Mòstra (salle des Maronniers)

Présentation de l'exposition Poésie - graphisme, accompagnée de lectures de Jaume Privat. 

- 15h00 : Actualitat del libre d'òc (salle de l'Orangerie) Animée par Philippe Reig. 


Sièsto pouëtico, Orangeraie du château :

- 16h30 :
Lo momenton dels pichons - l'entrevista 
Par les écoliers de la Calandreta Aimat Serre (Renat Sette et Jaume Privat) avec deux chansons des pitchonets de l'école d'Aspères

Sortida de residéncia - La miegjornalitat, qu'es aquò ?
Rencontre entre Hortense Raynal et Jaume Privat

- 17h45 : Performança poetica - La Vida fin finala
Renat Sette accompagné de Gianluca Dessi', chante 18 poèmes de Jean-Yves Royer. 

- 18h30 : Se rencontrar a Salinèla (sous la pergola)
Moment convivial autour d'un verre. 


Serada festiva - Parc du château

-19h00 : Obertura oficiala : en présence des élus et des institutions partenaires

- 19H30 : animation
de l’espace éditeurs. Actualités de l’édition en langue d’Oc.

- 20h00 : salle des marronniers (Tables rondes professionnelles fermées ) - Les éditeurs occitans

À partir de 20H15 Repas foods trucks + animation musicale musique d’Oc (CD)

20h45 - Concert Mouss T e lei Jovents

 

PROGRAMME DU DIMANCHE 26 MAI

«Debats actuals » - Orangeraie du château
La musique d’hier à aujourd’hui : comment la tradition peut nourrir la modernité ?

10h00 : Conferéncia - La musique provençale, entre tradition et modernité : André Gabriel.

11h00 : Intermèdi musical per André Gabriel 

11h45 : Des romantiques aux enfants du folk : comment la création occitane actuelle se nourrit de la musique traditionnelle : Jean-Jacques Casteret (ethnomusicologue, Directeur adjoint du CIRDOC - Institut occitan de cultura).

INFORMATIONS PRATIQUES

Durant les deux jours dans le parc du Château :
Salon du livre d’Oc / Expositions

Editors, Librariás e Revistas

Credd’O, Édite-moi, Jorn, L’Aucèu libre, Aquò d’Aquí, Revista ÒC, Le Félibrige, Reclams, IEO-IDECO, Espaci Occitan deis Aups


Informations : T/ 06 84 90 73 92 / 06 23 53 25 32
Facebook : LesRencontresdeSalinelles

sur 698