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Dialecte : Vivaro-Alpin
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Auteur : Sabrina Cepeda
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Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Le <i>Dictionnaire patois-français du Vivarais</i> de Jules Seuzaret(Coll. CIRDÒC)

Jules Seuzaret (1874-1956) est un félibre ardéchois, né à Juvinas le 18 juillet 1874. À partir des années 1930, il occupe un poste de fonctionnaire des Eaux et Forêts à Constantine (Algérie).

Attaché à l’étude de sa région et à sa langue (occitan, parler du Vivarais), il consacre une partie de sa vie à la rédaction d’un Dictionnaire patois-français du Vivarais qui sera achevé en 1950. L’ouvrage en trois volumes comprenant plus de 2000 pages dactylographiées est resté inédit.

Cet ouvrage s'intéresse à l’étude linguistique de l’occitan dans ses parlers du Vivarais et recense plus de 30 000 termes et locutions. Les définitions sont données en français et complétées par de nombreux comparatifs, synonymes ou antonymes qui en précisent le sens. Elles contiennent également de nombreux dictons et proverbes, couplets de chanson populaire ou citation d’auteur occitan sur le modèle du Tresor dóu Felibrige de Frédéric Mistral.

Ce chantier mettra Jules Seuzaret en rapport avec de nombreux autres félibres et érudits avec qui il entretient une importante correspondance en occitan et en français.

Modalités d'entrée :

Dépôt des héritiers en 2012

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds Jules Seuzaret comprend le Dictionnaire patois-français du Vivarais (dactylographié) relié en trois volumes, ainsi que la correspondance érudite de Jules Seuzaret complétée par les documents de travail, études et autres oeuvres publiées ou inédites.

Dates extrêmes :

1895-1950

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (Vivaro-alpin), français

Importance matérielle :

0.5 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Documents iconographiques

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

Fonds en cours de traitement

Instruments de recherche disponibles :

ø

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultable au CIRDOC, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants-droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

Mise en ligne : 23/03/2015
Tipe : Centre de ressorsa
La phonothèque de la Maison Méditérranéenne des Sciences de l’Homme a pour vocation de réunir les enregistrements du patrimoine sonore qui ont valeur d’information ethnologique, linguistique, historique, musicologique ou littéraire sur l’aire méditerranéenne.

Pour contacter l'établissement

Maison méditerranéenne des sciences de l'homme
5, rue du Château de l'horloge
BP 64
13094 Aix-en-Provence
France
Tél. : 04 42 52 41 13
Mail : ginouves@mmsh.univ-aix.fr

Accès tout public, tous les jours sur rendez-vous

Historique et missions

La Phonothèque de la MMSH a été créée en 1979 par Philippe Joutard (historien) et Jean-Claude Bouvier (ethno-dialectologue) pour mettre à disposition du public les enquêtes orales produites par le milieu universitaire, plus particulièrement dans le domaine ethnomusical et linguistique. La phonothèque est aujourd’hui directement rattachée à la Maison Méditerranéenne de l’Homme, département de recherche et d’enseignement en sciences humaines et sociales de l’université Aix-Marseille, spécialisé dans le domaine méditerranéen. Elle reçoit toujours en dépôt les documents sonores produits par le monde universitaire mais s’est aussi ouverte au grand public et conserve également des archives sonores d’origine privée, produits par des associations ou des particuliers.

Les collections occitanes de la phonothèque de la MMSH

Le fonds riche de plus de 5000 heures d’enregistrements sonores est constitué par les dépôts de chercheurs qui travaillent à partir de l’enquête orale et d’associations impliquées dans la sauvegarde du patrimoine régional.

Parmi ces collections de nombreuses enquêtes linguistiques, ethnographiques ou encore ethnomusicologiques contiennent des témoignages sur la langue et la culture occitane, principalement en Provence et Vallées occitanes.

Le fonds offre un recueil important de contes, chansons, facéties, proverbes et de morceaux instrumentaux inscrits dans un discours donnant des indications sur les référents identitaires de la communauté dont ils sont issus. Il contient également un corpus consacré à la mémoire des techniques et savoir-faire dans de nombreux domaines : élevage, fabrication d'objets, recettes culinaires et médicinales, techniques de construction… Enfin, le fonds présente un échantillonnage riche des parlers du Sud de la France, et donne accès à de nombreux documents relatifs à l’identité culturelle et linguistique méditerranéenne et plus particulièrement des territoires occitans.

Des conventions de dépôt signées avec l’INA (Institut National de l’Audiovisuel) ou encore le MUCEM (Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée) ont également permis à la phonothèque de la MMSH de conserver et donner accès à des fonds ethnologiques sur la région Provence par des chercheurs de l’ancien Musée des Arts et Traditions Populaires (ATP) ou encore des émissions radiophoniques sur le domaine provençal.

Instruments de recherche disponibles :

Plus de 3000 heures sont indexées dans sa base de données qui a pris pour nom Ganoub (le Sud en arabe). Le travail de catalogage est continu, chaque semaine de nouvelles références sont saisies dans la base.
Consulter la base Ganoub

Patrimoine occitan numérisé

Depuis 2000, la phonothèque participe au plan national de numérisation du Ministère de la Culture, grâce auquel plus de 1200 heures ont été numérisées. Depuis 2007, les fichiers sont mis en ligne et consultables directement depuis la base Ganoub.

Mise en ligne : 05/08/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Jules Ronjat avocat à la cour d’appel de Paris, puis au barreau de Vienne est l’un des fondateurs de l’Escolo parisenco dóu Felibrige (1894) et de la Ligue de décentralisation (1895) avant de devenir majoral du félibrige en 1904 (Cigalo de Zani). Sous le capouliérat de Pierre Devoluy, il exercera les fonctions de secrétaire général du félibrige de 1902 à 1909. Docteur ès-lettres en 1913, il est obligé de quitter la France en raison de l’origine allemande de sa femme. Il se réfugie alors à Genève où il enseigne de 1915 à 1925 comme privat-docent. Il meurt à Lyon le 16 janvier 1925 et est enterré dans le caveau familial du cimetière de Vienne.

  À la mort de Jules Ronjat, sa bibliothèque est cédée par sa veuve à Pierre Devoluy (1862-1932). À la mort de ce dernier, sa veuve, de concert avec Madame Ilse Odier (veuve de Jules Ronjat, épouse en secondes noces de Charles Odier psychanalyste genevois disciple de Freud), ont cédé les manuscrits de Jules Ronjat à la Bibliothèque de la Ville de Genève. Elles rendaient ainsi hommage à la fois à la ville qui avait accueilli Jules Ronjat lors de son exil et à la patrie exaltée par Devoluy, romancier des Cévennes protestantes.

Modalités d'entrée :

Fonds cédé à la Ville de Genève par Madame Ilse Odier et Madame Veuve Devoluy en 1932.

Accroissement :

fonds clos

Description du fonds

Manuscrits
Ms Suppl. 1707 : 35 cahiers de notes et documents sur la littérature provençale

Lettres autographes
20 lettres et cartes postales autogr.

Ms fr. 2553, f. 411-418
3 lettres au professeur Eugène Ritter Vienne en Dauphiné, 3 rue des Clercs, 9 avril – 11 mai 1901
1 lettre au même, en occitan, 5 mai 1905
Correspondance mondaine concernant l’invitation aux noces d’argent de Frédéric Mistral.
- invitation de Ritter au grand anniversaire mistralien de 1901 ;
- remerciements pour avoir répondu favorablement à l'invitation
- annonce de l'annulation de la fête, irrévocablement refusée par Mistral lui-même.

Ms fr. 5004, f. 40-59
12 cartes et lettres au professeur Charles Bally,
Vienne, 11 quai du Rhône, 11 octobre 1912 et sans date
Genève, [sans adresse], 11 novembre 1916 – 10 mai 1917
Genève, 9 Florissant, okm 1918, en occitan 
Correspondance très spécialisée sur des questions de linguistique

Ms fr. 2535, f. 146-147 (papier de deuil)
2 lettres au professeur Edouard Naville
Genève, 4 chemin Faller, 16 et 21 mars 1918
Correspondance sur un problème de phonétique romane

2 cartes de visite de 1918-1920 (dont une à Marie de Saussure) et deux billets d'octobre 1920 à Max van Berchem.

Dates extrêmes :

1911-1920

Langues représentées dans le fonds :

Occitan, français

Importance matérielle :

0,90 cm

Supports représentés :

manuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

Ms Suppl. 1707
Ms fr. 2553, f. 411-418
Ms fr. 5004, f. 40-59
Ms fr. 2535, f. 146-147

Instruments de recherche disponibles :
Bibliothèque de Genève

 Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Libre, sur demande le jour même, aux heures d'ouverture de la Bibliothèque de Genève.
Informations sur le site:
Bibliothèque de Genève

Conditions de reproduction :

Plusieurs possibilités selon l'état du document.
Informations sur le site:
Bibliothèque de Genève

 

Mise en ligne : 03/11/2016
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

André Francès est un universitaire, auteur de nombreuses recherches et publications sur le parler des Alpes.

Description du fonds

Le fonds se compose de notes d’enquêtes linguistiques menées par André Francès dans le cadre de ses travaux sur l’occitan parlé dans les Hautes-Alpes (occitan alpin) auprès de divers locuteurs des communes de La Salle-les-Alpes, Abriès, Molines-en-Queyras et Saint-Véran, Cervières, Saint-Chaffrey, Puy-Saint-Pierre, Puy-Saint-André, Saint-Martin-de-Queyrières, Villar-Saint-Pancrace, Le Monêtier-les-Bains, ainsi qu’un corpus d’enquêtes sonores menées auprès de locuteurs de la commune de Cervières.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

1980

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (provençal), français

- Importance matérielle

7 dossiers d’enquêtes ; 13 cassette audio.

- Supports représentés :

Manuscrits, enregistrements sonores.

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

147 J 1 à 7 (notes d’enquêtes)
1 AV 48-60 (enregistrements sonores)

Instruments de recherche disponible

Inventaire en ligne sur le site des AD05

Mise en ligne : 06/09/2016
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Paul Pons d'après une photographie publiée dans <i>Prouvenço d'aro</i>, n°28, 1989

Paul Pons (1910-2003) est né à Digne d’un père catalan-mayorquain et d’une mère gavote le 8 juillet 1910. Après des études au Lycée Gassendi de Digne et à la faculté des Lettres d’Aix, il obtient sa licence en histoire-géographie. Il entre dans l’enseignement en 1929 comme maître d’internat au collège de Cannes, puis à Manosque et enfin à Aix-en-Provence où il retrouve René Jouveau. De 1929 à 1931, il assure la publication mensuelle du journal Lou Gavouot.

D’abord mobilisé en 1939 dans les Alpes, il est rapidement démobilisé suite à la défaite française et rentre enseigner à Valence, puis à Briançon, la Flèche et finalement à Gap. Enseignant en histoire-géographie et en provençal, il milite au début des années 1950 en faveur de la loi Deixonne qui permet l’enseignement des langues régionales.

En 1956, il organise la sainte Estelle de Gap où il est élu majoral du félibrige et en 1961 il participe aux premières rencontres Provence-Piemont à Santo-Lucio de Coumboscuro.
Membre du bureau du Prouvençau à l’Escolo et co-fondateur de l’Unioun Prouvençalo, il en devient président. Il intègre ensuite la Société d’Études des Hautes-Alpes et y publie plusieurs études d’histoire régionale. Bien que retraité en 1970, il continue de préparer les élèves du lycée de Gap aux épreuves de provençal au baccalauréat. Il devient Capoulié du félibrige en 1989 et occupe cette place jusqu’en 1992. Il décède à Gap en 2003.

Description du fonds

Le fonds Paul Pons se compose d’un ensemble hétérogène de notes de lectures, brouillons, tirés-à-part, documentation et correspondance. Il se rapporte à des études extérieures aux Hautes-Alpes (notamment Italie et Provence), d’histoire locale (géographie, histoire) et au régionalisme.
Il contient également des dossiers relatifs au félibrige ainsi que la correspondance reçues par Paul Pons.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

1929-2002

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (languedocien, provençal, vivaro-alpin), français, catalan

- Supports représentés :

Monographies imprimées, manuscrits, périodiques, documents iconographiques

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

96 J 1 à 114

- Instruments de recherche disponibles

inventaire imprimé

Mise en ligne : 06/09/2016
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

François Joseph Célestin Pascal (1848-1932) est né le 17 mai 1848 dans le village de l’Epine (Hautes-Alpes) au sein d’une famille de cultivateurs. Il rentre au séminaire à Chorgues, avant d’exercer comme vicaire dans plusieurs villages des Hautes-Alpes. En 1888, il devient curé de Méreuil, puis retourne à Gap en qualité d'aumônier du collège puis du Lycée où il restera jusqu’en 1908.
En 1879, il déclare sa volonté de s’engager pour la défense de son parler occitan dans un courrier adressé au majoral Victor Lieutaud. La même année, il publie son premier recueil de poèmes Une nia dou païs qui sera salué par Frédéric Mistral et Joseph Roumanille puis publié l’année suivante dans l’Armana Prouvençau dont il deviendra un collaborateur régulier.

En 1881, il fonde, avec des érudits locaux, la Société d’Études des Hautes-Alpes et l’Escolo de la Mountagno dont il devient le “Cabiscol” (responsable). À la Sainte Estelle de Marseille de la même année, il est élu majoral du félibrige et organise les fêtes du félibrige à Gap en 1882. Il poursuit son œuvre occitane par la traduction de l’Iliado d’Oumero, qui paraîtra en trois tomes entre 1884 à 1892.

Par la suite, il publiera régulièrement des poésies en occitan dans le journal de Gap Le courrier des Alpes, jusqu’à ses dernières publications en 1926. Il meurt à Gap le 24 mars 1932.

Description du fonds

Les archives des Hautes-Alpes conservent deux ensembles relatifs à l’œuvre de l’abbé François Pascal.
Le premier d’entre eux est conservé sous la cote 8 J et correspond au Fonds François Pascal. Bien que ce fonds ne soit pas encore inventorié à ce jour il demeure toutefois accessible sur place.
Quatre autres manuscrits de l’abbé François Pascal sont également consultables aux archives des Hautes-Alpes : un Livre du raison du félibrige et trois volumes de Notes sur la grammaire provençale et le félibrige.

- Accroissement

clos

- Dates extrêmes

XIXe-XXe siècles

- Langues représentées dans le fonds

Occitan (provençal), français

- Supports représentés :

Manuscrits

Pour le consulter

- Identifiant du fonds

8 J

Mise en ligne : 06/09/2016
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Christian Anatole (1937-1987) est né à Montpellier le 29 octobre 1937 de parents originaires de la haute vallée de l’Aude. Après des études au Lycée du Vigan, puis au lycée de Limoux, il obtient son baccalauréat et s’inscrit à la faculté des Lettres de Montpellier. Il y prépare simultanément une licence de lettres et une licence d’italien. Élève de Charles Camproux (1908- 1994) qui donne des cours de langue et de littérature d’oc à la faculté de Montpellier depuis 1942, c’est par lui qu’il découvre la littérature occitane ce qui déterminera sa vocation.

Après sa formation, il devient enseignant au Lycée de Pamiers où il conçoit le projet d’une histoire de la littérature occitane sous forme d’un « Dictionnaire des auteurs et des œuvres » en collaboration avec le linguiste Jacques Boisgontier (1937-1998) alors professeur d’Espagnol à Auch. Ce projet est ajourné par la publication en 1970 de la Nouvelle histoire de la Littérature Occitane qu’il dirige avec Robert Lafont.

En avril 1969 il devient professeur assistant à l’Université de Fribourg, puis à l’Université Toulouse-le-Mirail aux cotés d’Henri Giordan. En 1970, il obtient un poste d’assistant à l’Université de Toulouse-le-Mirail.

Spécialiste des littératures de France et d’Europe du sud aux XVIe et XVIIe siècles, Christian Anatole joue un grand rôle dans la reconnaissance de l’enseignement de l’occitan. Il poursuivra son enseignement de l’occitan jusqu’en 1987, date à la quelle il prépare les élèves du Lycée Berthelot de Toulouse pour l’épreuve facultative du baccalauréat.

Animateur de plusieurs revues scientifiques (Via-Domitia, Cahiers Maynard, Cahiers de l’Europe Classique et néo-latine), il organise de nombreuses rencontres autour d’écrivains occitans (Pey de Garros, Michel Camélat, Jean-François Bladé, René Nelli, Antonin Perbosc, Jean Boudou) et participe aux cotés d’Ernest Nègre et de Philippe Carbonne à l'ouverture de la Bibliothèque du Collège d’Occitanie. Il décède le 11 juillet 1987.

Modalités d'entrée :

Dons successifs entre 1975 et 1987

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds Christian Anatole se compose de sa bibliothèque riche de près de 5 000 ouvrages et d’un fonds d’archives qui reflètent son parcours d’enseignant et de chercheur.

Dates extrêmes :

1958-1987

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (tous dialecte)

Français

Catalan

Importance matérielle :

1,40 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Périodiques (presse et revues)

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

ANA

Instruments de recherche disponibles :

Inventaire manuscrit sur place

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

Mise en ligne : 18/10/2013
Tipe : Centre de ressorsa
Centre de recherche et de promotion des langues et cultures de Rhône-Alpes, rattaché à l’Université Catholique de Lyon, l'Institut Pierre Gardette est spécialisé dans l'étude des parlers franco-provençaux et occitans, et sur la variation géographique du français. Établissement d’enseignement supérieur, il est en convention avec l'Université Lumière Lyon 2 pour la préparation du doctorat en sciences du langage.

Pour contacter l'établissement

Institut Pierre Gardette - Université Catholique de Lyon
25, rue du Plat
69288 - Lyon CEDEX 02

04.72.32.50.12
ipg@univ-catholyon.fr

Horaires d'ouverture :
Lundi : 14h. - 18 h.
Mardi : 9h. - 12h., 14h. - 18h.
Mercredi : 9h. - 12h., 14h. - 18 h.
Jeudi : 9h - 12h, 14h - 18h

Historique et missions

L'Institut Pierre Gardette porte le nom du linguiste dialectologue Pierre Gardette (1906-1973) auteur d’une thèse ayant pour titre : Etudes de géographie morphologique sur les patois du Forez (Mâcon 1941). Professeur à la Faculté Catholique de Lyon de 1945 à 1964, il en deviendra le recteur. C’est à sa mort que l'Institut de linguistique romane de l’Université Catholique de Lyon fondé en 1941, prendra le nom d’Institut Pierre Gardette.

L'institut met à la disposition des chercheurs, des étudiants et du grand public une riche bibliothèque spécialisée : des revues et ouvrages généraux de linguistique, ainsi que des dictionnaires, atlas, monographies... et des enregistrements anciens ou récents.

Les collections occitanes de l'Institut Pierre Gardette

Le fonds se compose d’atlas linguistiques et ethnographiques, revues de linguistique, glossaires et monographies auxquels il faut ajouter des collections de fichiers et de documents manuscrits ou sonores sur les dialectes.

Instruments de recherche disponibles :

Les fonds sont interrogeables depuis le catalogue du Service Commun de Documentation (SCD) de l’université catholique de Lyon : http://servaleph.univ-catholyon.fr/F?RN=696648340

Les collections de la bibliothèque sont également partiellement catalogués dans le SUDOC : http://www.sudoc.abes.fr/

Mise en ligne : 21/10/2013
Tipe : Fons documentari
Histoire du fonds
Albert Boudon-Lashermes (1882-1967) naît le 28 février 1882 au Puy. Dès l'âge de 17 ans, il écrit ses premières pièces de théâtre dont la première est imprimée en 1899. Après des études de droit et une thèse de doctorat sur la sénéchaussée présidiale du Puy (1908), il s'intéresse à l’histoire, à la généalogie et au folklore du Puy et de la région du Velay, sur lesquels il publie de nombreux ouvrages.
Fondateur en 1913 de l’école félibréenne du Puy « Escolo Peire Cardenal », il rencontre Frédéric Mistral qui lui préfaça son ouvrage Glòri óublidado : pouèmo provençau. À partir de 1913, il imprime lui-même La Crounico de Sant Maiòu chronique trimestrielle sous forme de fascicule qui paraîtra sans interruption jusqu’en 1925. Au cours de la Grande Guerre, il fonde l’Escolo dòu boumbardamen qui édite le journal l’Écho du Boqueteau, publié en français et en occitan jusqu’en 1916 et réunissant les écrits des félibres du front.
Après la guerre il se consacre aux études historiques sur la région du Puy et du Velay et publie ses travaux sous forme de plaquettes ou dans des journaux comme La Terre vellave et brivadoise (1926-1932), sortis de sa propre imprimerie. Il rédige alors une monumentale Anthologie des poètes de l’Académie du Velay, prévue en sept volumes, qui ne verra jamais le jour. Albert Boudon-Lashermes meurt au Puy le 11 juillet 1967.

- Accroissement
fonds clos

- Modalités d’entrée
acquis par les Archives départementales de la Haute-Loire en janvier 2012.
 
Fonds complémentaire :
CIRDOC fonds Albert-Boudon-Lashermes

Description du fonds

Ce fonds comprend une partie de la collection des « livres rouges », 18 gros volumes reliés, témoignages inédit de la vie d’autrefois et une des dossiers documentés classés par thème contenant notes, correspondances, articles de presse, dessins et photos préparatoires à l’écriture des ouvrages et articles de Boudon.
- Dates extrêmes:
XIXe siècle
- Langues représentées dans le fonds
Occitan (auvergnat, languedocien, provençal), français
 
- Importance matérielle:
0,50 ml
 
- Supports représentés :
imprimé, manuscrits documents iconographiques

Pour le consulter

- Identiffiant du fonds

- Instruments de recherche disponibles
Répertoire numérique dactylographié, par Martin de Framond, 2009.
 - Ressources en ligne
 
Conditions d’utilisation
- Conditions de consultation
Accès libre
 
- Conditions de reproduction
Reproduction libre
Mise en ligne : 27/10/2015
Tipe : Fons documentari

Histoire du fonds

Calixte Lafosse (1842-1904), auteur romanais de La Manoore de vé Ruman (1878), Poésie (1880), Legenda Rumanaisa. Fondateur du journal d'opposition républicaine à l'Empire, "Le Jacquemart" en 1867. Ce journal est plusieurs fois saisi ou interdit. Parallèlement, il publie ses poésies et de la prose en patois romanais. Il part en Algérie en 1881 où il fonde le journal "Fantasia". De retour en France en 1891, il s'installe comme ébéniste et antiquaire à Romans où il fonde un nouveau journal "le culu de Jacquemart". En 1892, il quitte définitivement Romans pour l'Algérie, où il meurt en 1904. Tout au long de sa vie, Calixte Lafosse a écrit des articles et des poèmes

Modalités d'entrée :

 

Accroissement :

Fonds ouvert

Fonds complémentaire :

 

Description du fonds

Le fonds est composé de quatre grandes parties :
- les papiers de la famille Lafosse (1803-1987)
- les œuvres et la documentation manuscrite de Calixte Lafosse (non datée)
- des œuvres imprimées (1868-1933)
- la bibliothèque de Calixte Lafosse (1617-1902)

Dates extrêmes :

1803-1987

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (vivaro-alpin)

Français

Importance matérielle :

0.80 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies imprimées

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

58S1-1987

Instruments de recherche disponibles :

Répertoire numérique détaillé sur place

Ressources en ligne

 

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Librement communicable

Conditions de reproduction :

Conforme à la réglementation de la salle de lecture des Archives communales

Mise en ligne : 21/10/2013
sus 2